Je viens d’effectuer les tests ultimes de l’arbalète avec succès. OUF !
L’armement est réalisé avec le secours du pied (qui pousse) dans l’étrier, de la traction du crochet de ceinture aidé par la pression des deux mains.
Une simple pression de la main permet de positionner la corde dans la gorge de la noix.
Le crochet enlevé, la corde est bien positionnée dans la gorge de la noix. Par mesure de précaution, j’ai placé un bouchon entre le levier de détente qui joue de rôle de « cran de sûreté ».
Un carreau est placé sur la rainure, en contact avec la corde, pour le premier essai de tir.
Contrairement à mon arbalète XVe siècle avec arc en acier, je n’ai ressenti aucune secousse pendant le tir. L’arme est très souple lors de la décoche, elle ne vibre pas.
Une vraie arme de « sniper » !
A l’issue de ce tir de carreau, rien n’a bougé sur l’arbalète. Les liaisons de chanvre, de lin et de cuir sont efficaces par leur souplesse et leur résistance. Elles ont parfaitement remplis leurs fonctions.
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Je vais encore une fois démonter l’ensemble pour gainer l’arc de sa peau de serpent. Puis je remonterai le tout définitivement.
Il me reste à confectionner de véritable carreaux XIIIe avec empennage de plumes.