Les Hospitaliers de Terre d'Oc

Chers amis médiévistes bonjour,
Voici venu le temps où notre association "Les Hospitaliers de Terre d'Oc" voit le jour.
Notre association est une association de loi 1901.
Plusieurs de nos membres sont d’anciens médiévistes, qui ont fait leurs armes ça et là.
J’en suis la Présidente : Florence Mestres, alias Jeanne (et oui, chez nous, c'est matriarcal).
Mais, sont présents : un Maréchal de compagnie avec son écuyer, un Connétable avec son écuyer, 4 Sergents, un Gonfalonier, un tambour, un Prieur, un Chapelain, une Abbesse (Mère Supérieure), car oui, il faut de la discipline!
Nous comptons également, toute une ribambelle de jouvencelles plus ou moins mûres sans compter leurs descendants.
Nos activités : spectacles de rue, vie militaire et civile sur le camp, défilé au pas et au son du tambour, la popote au son de la cloche, vie monastique, mêlée avec les copains ou contre les copains..., la solde des soldats, « bidouillage » d'un blessé, ...etc... Venez vous verrez le reste!
Petite histoire sur fil rouge :
An de grâce 1250,
Ayant fini sa quarantaine en terre de Palestine une troupe de fidèles guerriers du Christ revient de Terre Sainte en son pays d'origine, la Terre d'Oc.
Ces guerriers, forts de leur passé en croisade, retrouvent femmes et enfants pour les laïcs et monastères pour les ecclésiastiques.
Ne renonçant pas à déposer l'uniforme des Hospitaliers, une dernière mission leur a été confiée, celle qui fût la même qu'en terre sainte, la protection des croyants contre les bandes armées, roturiers, malandrins et l'hospitalité envers les pèlerins malades, sur le chemin de saint Jacques de Compostelle, vers l'occident.
Toutefois, une Bulle sera accolée à cette compagnie, en particulier pour les laïcs de cette ost, une nonne d'un rang supérieur sera présente pour "endiguer" les meurs des fidèles guerriers du Christ.
Tout homme portant l’uniforme durant son service, ne doit approcher sa dru, pas plus qu’il ne doit être approché par quelque gente dame que ce soit, sous peine d'être puni d’excommunication et radié de l'ordre des Hospitaliers à tout jamais.
La Supérieure, Jeanne, veillera sur la gent féminine du camp, pendant que ses frères et confrères de l'ordre feront ce pour quoi ils sont faits : la GUERRE.
Voici venu le temps où notre association "Les Hospitaliers de Terre d'Oc" voit le jour.
Notre association est une association de loi 1901.
Plusieurs de nos membres sont d’anciens médiévistes, qui ont fait leurs armes ça et là.
J’en suis la Présidente : Florence Mestres, alias Jeanne (et oui, chez nous, c'est matriarcal).
Mais, sont présents : un Maréchal de compagnie avec son écuyer, un Connétable avec son écuyer, 4 Sergents, un Gonfalonier, un tambour, un Prieur, un Chapelain, une Abbesse (Mère Supérieure), car oui, il faut de la discipline!
Nous comptons également, toute une ribambelle de jouvencelles plus ou moins mûres sans compter leurs descendants.
Nos activités : spectacles de rue, vie militaire et civile sur le camp, défilé au pas et au son du tambour, la popote au son de la cloche, vie monastique, mêlée avec les copains ou contre les copains..., la solde des soldats, « bidouillage » d'un blessé, ...etc... Venez vous verrez le reste!
Petite histoire sur fil rouge :
An de grâce 1250,
Ayant fini sa quarantaine en terre de Palestine une troupe de fidèles guerriers du Christ revient de Terre Sainte en son pays d'origine, la Terre d'Oc.
Ces guerriers, forts de leur passé en croisade, retrouvent femmes et enfants pour les laïcs et monastères pour les ecclésiastiques.
Ne renonçant pas à déposer l'uniforme des Hospitaliers, une dernière mission leur a été confiée, celle qui fût la même qu'en terre sainte, la protection des croyants contre les bandes armées, roturiers, malandrins et l'hospitalité envers les pèlerins malades, sur le chemin de saint Jacques de Compostelle, vers l'occident.
Toutefois, une Bulle sera accolée à cette compagnie, en particulier pour les laïcs de cette ost, une nonne d'un rang supérieur sera présente pour "endiguer" les meurs des fidèles guerriers du Christ.
Tout homme portant l’uniforme durant son service, ne doit approcher sa dru, pas plus qu’il ne doit être approché par quelque gente dame que ce soit, sous peine d'être puni d’excommunication et radié de l'ordre des Hospitaliers à tout jamais.
La Supérieure, Jeanne, veillera sur la gent féminine du camp, pendant que ses frères et confrères de l'ordre feront ce pour quoi ils sont faits : la GUERRE.