
Il semble que depuis quelques temps plusieurs vols ont été commis à l'occasion de rassemblements inter-troupes. Les derniers en date concernent l'assaut des Baux où au moins trois vols auraient été commis.
Faut-il rappeler que si la sécurité des campements est l'affaire de tous, elle est avant tout de la responsabilité des troupes elles-mêmes ?
Lorsque vous laissez votre véhicule sur le parking avant de venir vous immerger pendant deux jours dans l'univers médiéval, vous prenez soin de le fermer à clef et de ne pas laisser d'objets de valeurs à l'intérieur, non ?
Il en va de même pour votre campement : quand vous l'abandonnez pour participer à un assaut ou une parade (ou tout simplement pour aller manger), il faut prendre un minimum de précautions.
Dans ma troupe, on ne laisse rien traîner hors des tentes et, lorsque nous sommes obligés d'abandonner le campement, on désigne Charles le Fourbe pour monter la garde (c'est le plus jeune et il n'a pas le droit d'aller à la taverne). C'est contraignant, mais ça me semble un minimum.
Lorsque nous avons le plaisir de partager un espace avec une autre troupe, nous nous assurons qu'au moins une des troupes veille sur les deux campements pendant les mêlées et les parades.
Comme l'a très justement fait remarquer GI dans une autre rubrique, la plupart du temps les vols sont le fait de médiévistes, pas du public. Ce qui ne nous dispense pas de prendre des précautions envers le public également.
Autre précaution élémentaire : marquer le matériel de manière personnalisée et indélébile. Ceci permet en outre de ne pas perdre son godet ou de retrouver son épée oubliée sur un autre campement après moultes libations.
Si chacun fait attention à son matériel et à celui des autres, nous rendrons la tâche plus difficile aux voleurs. C'est une constante que nous connaissons bien dans ma profession : les voleurs existent et rien ne peut les empêcher de commettre leurs larcins. En revanche, on peut les décourager et les retarder en compliquant leur travail.
Il ne s'agit pas de provoquer une psychose ou de pousser les gens à se surveiller mutuellement ; juste d'empêcher les moins délicats d'entre nous de voler ce que d'autres ont parfois du mal à s'offrir honnêtement.
Vous avez sans doutes d'autres idées... Faites nous en profiter.
Je le répète : la sécurité des campements est l'affaire de tous.
Faut-il rappeler que si la sécurité des campements est l'affaire de tous, elle est avant tout de la responsabilité des troupes elles-mêmes ?
Lorsque vous laissez votre véhicule sur le parking avant de venir vous immerger pendant deux jours dans l'univers médiéval, vous prenez soin de le fermer à clef et de ne pas laisser d'objets de valeurs à l'intérieur, non ?
Il en va de même pour votre campement : quand vous l'abandonnez pour participer à un assaut ou une parade (ou tout simplement pour aller manger), il faut prendre un minimum de précautions.
Dans ma troupe, on ne laisse rien traîner hors des tentes et, lorsque nous sommes obligés d'abandonner le campement, on désigne Charles le Fourbe pour monter la garde (c'est le plus jeune et il n'a pas le droit d'aller à la taverne). C'est contraignant, mais ça me semble un minimum.
Lorsque nous avons le plaisir de partager un espace avec une autre troupe, nous nous assurons qu'au moins une des troupes veille sur les deux campements pendant les mêlées et les parades.
Comme l'a très justement fait remarquer GI dans une autre rubrique, la plupart du temps les vols sont le fait de médiévistes, pas du public. Ce qui ne nous dispense pas de prendre des précautions envers le public également.
Autre précaution élémentaire : marquer le matériel de manière personnalisée et indélébile. Ceci permet en outre de ne pas perdre son godet ou de retrouver son épée oubliée sur un autre campement après moultes libations.
Si chacun fait attention à son matériel et à celui des autres, nous rendrons la tâche plus difficile aux voleurs. C'est une constante que nous connaissons bien dans ma profession : les voleurs existent et rien ne peut les empêcher de commettre leurs larcins. En revanche, on peut les décourager et les retarder en compliquant leur travail.
Il ne s'agit pas de provoquer une psychose ou de pousser les gens à se surveiller mutuellement ; juste d'empêcher les moins délicats d'entre nous de voler ce que d'autres ont parfois du mal à s'offrir honnêtement.
Vous avez sans doutes d'autres idées... Faites nous en profiter.
Je le répète : la sécurité des campements est l'affaire de tous.