Michel, chevalierdedrouie à dit :
la bravoure durant d'entrainement équestre
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Un chevalier va s'entrainer sans ses armes
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dans sa mise en application de ses valeurs avec son peuple, dans le respect de la parole donné avec le monde politique qui l'entoure, dans l'éloquance de ce dernier quand il fait la cour à une belle... Il y a la toute une richesse qui a son utilité culturel et sociale dans le monde actuel. Alor pourquoi ce priver d'offrir cette richesse au publique???
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Heu ! on a besoin d'un cheval pour ça ??
Je veux bien passer pour un benêt, mais à part vouloir faire un
show ou
spectacle équestre
(je laisserai le choix du terme), je ne vois pas ce qu'un cheval apporterait du plus, si ce n'est ce qu'attend le public en générale. Une représentation qui bien souvent n'a plus grand chose à voir avec ce qu'il pouvait y avoir à cette époque.
Voici la première descrïption d'
un chevalier courtois, qui traine sur la toile. Donc ce que va lire dans une certaine généralité le public.
- Définition :
*LE CHEVALIER COURTOIS*
Le mot "courtois" vient de l'ancien français "cort", qui signifie la "cour". La courtoisie se développe en effet dans les cours royales et celle des grands seigneurs, à partir du XI° siècle dans le sud de la France, et du XII° dans le nord, souvent sous l'influence des dames. Par exemple, Chrétien de Troyes écrivit à la cour de Marie de Champagne, fille d'Aliénor d'Aquitaine.
La courtoisie, c'est d'abord une nouvelle attitude envers les femmes : davantage de respect. Le chevalier courtois accorde une grande place à l'amour,
la "fine amor". Cet amour exige du chevalier un dévouement total aux désirs de sa dame: il doit la mériter par son obéissance, sa fidélité et par les prouesses qu'il accomplit pour elle.
La courtoisie, c'est est aussi un mode de vie : chevaliers et dames ont du goût pour les riches vêtements ( tissus, broderies, fourrures, bijoux...); ils aiment les fêtes où se manifeste la largesse de celui qui les offre.
Le chevalier courtois recherche à la fois la gloire personnelle et l'amour de sa dame. Il doit pour cela faire preuve de certaines qualités:
# le courage : le chevalier doit être "preux" et vaillant.
# la fidélité à sa parole : il doit être loyal.
# la générosité : envers son adversaire, envers ceux qui ont besoin de son aide. ( De plus, il doit faire preuve de largesse : il n'a pas à épargner ! )
# la maîtrise de soi : il ne doit pas se laisser conduire par la haine ou la colère. Il doit aussi se montrer courtois au sens moderne du mot, c'est-à-dire qu'il doit respecter des règles de vie en société, de politesse.
# Il doit
chercher l'aventure, ce qui en fait souvent un chevalier errant.
S'il a toutes ces qualités, le chevalier est un chevalier parfait... mais les chevaliers ne correspondaient pas tous, loin de là, à cet idéal et les romans nous présentent aussi des chevaliers félons !
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# le courage : le chevalier doit être "preux" et vaillant.
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Mais sans combattre.
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chercher l'aventure
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À cheval ?? Oui ! Mais pourquoi ?? Recherche de gloire au combat, en joute, un itinérant de la baston ?? Ha non ! Ça ne colle pas dans le scénario.
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# la fidélité à sa parole :
# la générosité :
# la maîtrise de soi :
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Pour ces autres points, je ne vois pas trop l'utilité de la présence d'un cheval, si ce n'est pour faire une exhibition.
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--Message edité par Raimond Roger TRENCAVEL le 2011-06-20 11:15:01--