Grand Inqui a dit : (...)
-concernant l'équipement des porte-bannières; comme toute personne sur le champs de bataille, les porte-bannières doivent étre protégés; casque et gambison obligatoires, gantelets si possible
Je partage, à titre perso, exactement le même point de vue.
-concernant la prise de bannières; c'est un sujet sensible; il y a des troupes qui rentrent en transe si vous touchez leur bannière; le fait de la défendre risque encore plus de l'abimer ou de la déchirer, et là, bonjour l'ambiance...
Le mieux n'est-il pas, par souci autant de l'intégrité de la bannière, de son porteur que de la plausabilité de la bataille, d'autoriser à faire prisonnier un porte-bannière, et le ramener dans ses lignes, sans avoir le droit de le tuer, ou de lui prendre la bannière dont il a la garde?
Sur cette question, j' ai des idées plus tranchées.
Dans les mélées ou les bannières sont prenables:
Soit on choisit d' arborer fièrement ses couleurs en exhibant sa bannière, soit on la laisse au camp.
(pour être franc, je reste froid à l' argument de la mystique du drapeau associatif.)
Avec obligation de respecter la bannière prise (pas de signe vexatoires, pas de vandalisme). A Folleville, on a pas ce genre de problème car il est clairement énoncé que c' est un motif de non participation future.
Lorsqu' un drapeau est pris, il est remis au général de l' armée qui profite de la 1ère "négociation" de la même mélée pour le rendre à son camp initial.
Dans les mélées ou les bannières sont imprenables.
Le porte bannière est alors non combattant et je suis assez rétif au fait de laisser les combattants s' approcher d' un non combattant.
Le capturer? C' est une bonne solution mais pour plus de crédibilité, il est mieux que ce soit celui qui capture qui tiennent la bannière, le temps d' emmener le captif vers ses lignes (quitte à lui rendre après)