la flammèche de la bougie allumée dans la brume
vacille encore et brille dans mon esprit ému..
et ces lettres tracées dessus la terre brune....
un cri de l'interieur; un souffle bien ténu...
...
j'y étais.
...
c'est comme revivance que de lire céant
les mots que tu gravas dedans cette chronique,
comme furent joyeux le moments dans le cirque
que Béziers nous offrit, il y a quelques ans...
pourquoi tant de Silence..?
combien de grains encore passent au sablier ?
et cet arc ? cette science!
comment peut on avoir ses amis éloignés ?...
....
amitiés de Pyrène et de ses habitants !