Chauffage pour tente

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Robert du Fayral
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Message04 Déc 2013, 10:01

Bonjour à tous,
Ce WE je suis à Châteauneuf du Rhône et comme il va surement faire froid, je vais tester un chauffage maison. Je ne sais pas si vous le connaissez, je mets le texte le concernant et le lien pour le sujet avec photos et moi dès lundi je vous dirai si cela fonctionne bien. C'est facile et pas cher ;o))

http://ensoi.discutforum.com/t1433-systeme-d-un-petit-chauffage-d-appoint-avec-des-bougies

Système D : Pour faire un petit chauffage radiant sans électricité ni gaz, on a juste besoin d'un matériel bon marché ou également trouvé dans les brocantes. Bien sûr ça n'aura pas la puissance de chauffe d'un radiateur électrique ou à gaz, ça peut dépanner lorsque l'on veut chauffer un coin à moindre coût, réchauffer un jardin d'hiver ou tout simplement fermer 1 radiateur sur 2. C'est aussi en pensant à des familles qui vivent de manière vétuste et sans électricité que ce système peut être utile.
Les pots en terre cuite sont bon marché, j'en ai acheté lors des déstockages dans une jardinerie à 1€ pièce.

2 dessous de pots ou n'utilisez qu'un seul, selon la hauteur de votre grille. Il faut que l'air circule donc les bougies ne doivent pas être étouffées par le petit pot car ça ne produira pas assez de chaleur ou les bougies s'éteindront.

4 bougies chauffe plat (elles sont vendues par centaine entre 1€ et 5€ - là aussi, profiter des déstockages).

1 grille (on peut en récupérer dans les brocantes) OU 3 briques pas très épaisses à poser à plat en forme de U, pour soutenir les pots (ils seront ainsi autour du foyer formé par les bougies).
1 pot en terre cuite de la taille que vous souhaitez.
1 pot en terre cuite d'une taille supérieure au précédent.

Et si on n'a pas de grille :
1 moule à cake.
4 bougies chauffe plat.
1 pot en terre cuite de la taille que vous souhaitez.
1 pot en terre cuite d'une taille supérieure au précédent.

MONTAGE :
ATTENTION : ça chauffe jusqu'à 30°C ou plus ; ne pas toucher les pots sans protection.

Les bougies brûlent pendant environ 4 heures.
Sécuriser le meuble sur lequel vous poserez le chauffage d'appoint. Couvrez la surface de papier aluminium ménager.

Poser un dessous de pot côté ouvert vers le bas. Poser l'autre dessous de pot dessus, et déposer les 4 bougies dedans. :content-29:
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bzhastro
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Message04 Déc 2013, 10:41

bon je vois déjà arriver les crieur au scandale que "cépaïsto" etc ...

la question est donc : comment se réchauffaient t'ils sous les tentes lors des grands froid ???

sources ?
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Raimond Roger Trencavel
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Message04 Déc 2013, 12:15

.

Château ou tente peu importe.

Un seau dans lequel on déposait dans le fond des pierres chauffées au feu et on s'asseyait dessus.
D'où l'expression : "avoir le feu au cul." :1124930010:


.
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http://www.les-feals-compaings.com/

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Narel
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Message04 Déc 2013, 12:41

Rien de bien nouveaux ;)

"Le chauffage au Moyen-age
En France, pendant tout le Moyen Âge, dés qu’arrivait l’hiver, on grelottait. Pour trouver un peu de chaleur, on se groupait autour de la cheminée, ou même dedans si elle contenait des bancs de pierre. Et la vie s’organisait devant ces hautes-flammes, ainsi que le décrit Viollet-le-Duc: “Le maître de la maison ou le châtelain, obligé de se renfermer dans son manoir aussitôt le soleil couché, réunissait autour du foyer non seulement les membres de sa famille mais ses serviteurs, ses hommes qui revenaient des champs. Une chandelle de suif, de résine ou de cire fichée dans une pointe de fer et la brillante flamme du foyer permettaient aux femmes de filer et de travailler à quelque ouvrage d’aiguille. Lorsqu’on sonnait le couvre-feu, chacun allait trouver son lit, et la braise, amoncelée par un serviteur au moyen de longues pelles de fer, entretenait la chaleur dans la salle pendant une partie de la nuit; car le maître, sa femme, ses enfants, avaient leurs lits encourtinés dans la salle; souvent les étrangers et quelques familiers couchaient aussi dans cette salle sur des bancs garnis de coussins, sur des châlits ou des litières.”

Mais dans ces grandes salles dallées, les courants d’air se glissaient partout. Aussi restait-on couvert d’une robe fourrée et la tête abritée sous un chaperon. On haussait le dossier des sièges pour se protéger des vents coulis. Enfin sur le sol, on laissait fermenter des jonchées de paille ou de verdure qui réchauffaient l’air glacial. Dans les palais royaux, un officier nommé le joncheur avait pour charge de renouveler cette litière.

Moyens bien rudimentaires pour affronter des hivers dont certains furent d’une rigueur dont nous avons du mal à nous faire une idée. En 1234, par exemple, Venise se trouvait prise dans les glaces, tous ses canaux ayant gelé. Durant les hivers de 1074 et de 1740, on pouvait patiner du plateau de Langres jusqu’au Havre entre les deux rives de la Seine. Le port de Gênes ne fut plus qu’une étendue de glace en 1493, puis le port de Marseille en 1594. A Paris, en 1410, le froid fut tel que des tombereaux passaient dans les rues pour ramasser les cadavres de pauvres gens qui étaient jetés aux portes de la ville afin que les loups les dévorent. La terre avait été tellement durcie par le gel qu’il était impossible d’y creuser des tombes.

Dans leur petite maison, les paysans souffraient moins du froid. Un seul mur séparait la salle commune de l’étable, aussi la chaleur des bêtes profitait à toute la famille. Et dans la cheminée, un feu de bois. Dans certaines provinces, le paysan jouissait du “droit de chauffage”, c’est-à-dire qu’il pouvait couper du bois dans la forêt. Mais s’il était surpris à emporter du bois trop jeune, il risquait l’amputation du pouce car on se préoccupait déjà du déboisement.

Peu avant la Renaissance la cheminée se transformait. La hotte de pierre cédait la place au panneau vertical très haut et surchargé de sculptures, devises, sujets mythologiques ou religieux. Des colonnes ou des cariatides soutenaient le manteau. Le tout prenait des proportions colossales. La cheminée de la grande salle des comtes de Poitiers mesurait dix mètres de large et deux mètres trente sous le manteau.

Les grandes tapisseries des châteaux servaient moins à orner les murs qu’à protéger de l’humidité et du froid. Elles n’étaient pas appliquées contre le mur, comme maintenant, mais suspendues à quelques centimètres de façon à interposer une couche d’air isolante. C’est ainsi que Polonius de Shakespeare put se glisser derrière une tapisserie où Hamlet vint le transpercer de son épée.

Et le combustible? Tant que les moyens de transport restaient rudimentaires on n’employait que le bois. Le charbon de terre et la houille n’étaient utilisés que sur place. En Bretagne, on préférait exposer des bouses de vache contre les murs tournés vers le sud pour le faire sécher, ou encore du varech également séché."

Source: Internet.

Bien à vous Narel.
Si vous ne savez pas quoi dire, ne dites rien.

yrwanel
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Message04 Déc 2013, 14:24

Il serait aussi mentionné des "braseros", en tout cas dans les habitations en ville, ne bénéficiant pas de cheminées.

Les lits étaient entourés de courtines, donc étaient clos, amenant une certaine isolation (et chauffer à "chaleur humaine").

Ici, il faut voir la région....sud ou nord, écosystème:
Maisons de ville ou de campagne: souvent en pisé et/ou torchis, toits souvent en chaume: finalement, c'est "périssable", certes, mais ces matières sont assez isolantes! (on y revient à la construction en torchis). :wink:
En campagne, on joue (aussi) sur l'orientation, soit des murs fermés vers les vents dominants + installer les animaux (et ou paille et foin) côté "vents dominants", l'habitat côté vents non dominants.
Toujours en campagne: des habitats pas très haut de plafond, résistants aux vents dominants , et plus facile à chauffer.
Il semble que, très longtemps, la "cheminée centrale" a pu persister, la fumée s'échappant via le toit soit latéralement soit un trou juste au-dessus.
Et pas trop d'ouvertures.... ;-)

En moyenne, la "boulangerie" se trouve à une certaine distance de l'habitat principal, question incendie.
En ville, les boulangeries sont très strictement réglementées pour les même raisons. :wink:

Je vous autorise à me râler dessus, MAIS.. en Belgique, nous avons deux (au moins) archéosites plutôt intéressants.
- Aubechies, axés sur les habitats pré-gaulois, gaulois, gallo-romains, réalisés d'après des fouilles menées en Belgique, bien sûr, donc de la reconstitution.
- Bokrijk (Campine - Flandres): là, c'est un "conservatoire" d'habitats ruraux créé au moment où, youpi la modernité, on a commencé à démolir ces habitats pour les remplacer (ou pas), par du "moderne". Certains de ces habitats étaient quand même pas mal anciens (dont du XVIème), et il y a de tout: de la très grosse ferme de riche fermier, grange à dîmes,, etc. jusque à l'humble chaumière minuscule du tout petit paysan ou manouvrier.
PS: on reste dans la structure bois, le torchis, le chaume.. tuiles pour les fermes cossues.

(mais où va t-elle, la vieille chouette?)
Que, très étonnement, les "chaumines" semblent avoir traversé le temps...depuis l'âge de fer jusque au début du XXème! :mrgreen:

Par contre, les habitats "cossus", c'est une autre histoire...les bestioles sont "isolées" de l'habitat (cloison, mur), et apparition de cheminées appuyées à un mur, donc la chaleur rayonne moins dans la pièce => il faut plus de bois pour avoir chaud.

On a aussi des cheminées assez.. "vastes" permettant que les gens puissent s'assoir tout près du foyer, l'âtre lui-même n'occupant que le centre de la cheminée, à l'occasion posé sur une sole.
Le droit d'avoir chaud va dépendre du "patron" de ce genre de ferme et des rangs au sein de la ferme...tout comme dans les châteaux, du reste. Il peut y avoir un côté de l'âtre "pour les femmes" et l'autre "pour les hommes" (cheminée en basse Normandie, par ex.)

Bâtis en pierre: l'épaisseur des murs assurent une certaine "inertie", mais cela ne devait pas être chaud... :roll:

yrwanel
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Message04 Déc 2013, 14:25

PS: le charbon de bois existe déjà.....

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la Criante
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Message04 Déc 2013, 16:50

Narel a écrit:Rien de bien nouveaux ;)

"Le chauffage au Moyen-age
En France, pendant tout le Moyen Âge, .....


Certes mais cela ne répond pas à la question initiale du chauffage sous tente (pour peu qu'il y ait eu utilisation de tente en hiver ! ...).
J'aurais tendance à dire grand feu et brazero au milieu du camp et paille, fourrure et épaisseur de textile sous tente (avec, pourquoi pas, braises et cendres chaudes pour réchauffer l'air ambiant en début de nuit).
http://img25.xooimage.com/files/c/7/c/la-criante_new3_bandeau-b6a163.jpg Sus à l'Anglois, foutre Dieu !

yrwanel
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Message04 Déc 2013, 17:18

pas faux!

Je pencherais pour le brasero, du moins pour les tentes "spacieuses" (pas à la portée de tous le monde).

Autres astuces: placer un bourrelet de paille à l'intérieur, dans le bas de la tente (et éventuellement une jonchée de paille au sol).
Ouverture de la tente: pas du côté des vents dominants.. (logique, mais déjà vu, la porte vers les vents dominants).

Feux extérieurs, sans doute.. ne fût-ce que pour les veilleurs... et qu'on entretient, ne fût-ce que pour faire les repas. :wink:

drapier
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Message04 Déc 2013, 19:24

vite fait + ce week end

pour le chauffage au moyen age le plus efficace est sans doute le poêle, on peut s'interroger sur le rendement des cheminées

http://hal.inria.fr/docs/00/12/11/03/PD ... omplet.pdf

http://rae.revues.org/5425

http://www.theses.fr/2004NAN21003

http://medieval-europe-paris-2007.univ- ... .Horry.pdf

de plus ne pas oublier le petit age glacière; Le Petit Âge glaciaire a frigorifié la deuxième partie du Moyen Âge, donnant lieu à des scènes jamais vues auparavant, comme du patin sur la Tamise gelée, à Londres,
3 à 4 degrés de moins en moyenne par rapport à nous en Europe


http://www.unifr.ch/geoscience/geograph ... r/2406.php
l'histoire, c'est un compte de faits

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Raimond Roger Trencavel
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Message06 Déc 2013, 09:29

Raimond Roger Trencavel a écrit:.

Château ou tente peu importe.

Un seau dans lequel on déposait dans le fond des pierres chauffées au feu et on s'asseyait dessus.
D'où l'expression : "avoir le feu au cul." :1124930010:
.
bzhastro a écrit:bon je vois déjà arriver les crieur au scandale que "cépaïsto" etc ...

la question est donc : comment se réchauffaient t'ils sous les tentes lors des grands froid ???

sources ?




Ooops ! Désolé.

J'avais oublié de donner le nom de la source.

Pierre Monnet : . :arrow: . Curriculum vitae . . . Image



On peut même voir que sur ces images, il y est représenté un seau avec un couvercle.

Image Image

Au mois avec cette technique, il y avait moins de risque de mettre le feu sous la tente et peut être aussi éviter l’asphyxie au monoxyde de carbone. Quoi qu'à cette époque ... En connaissait-il les conséquences ?

.
Dernière édition par Raimond Roger Trencavel le 06 Déc 2013, 09:36, édité 1 fois au total.
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Message06 Déc 2013, 09:35

Narel a écrit:Source: Internet.

Dis comme cela, abruptement, ce n'en est pas une ! :mrgreen:
http://img25.xooimage.com/files/c/7/c/la-criante_new3_bandeau-b6a163.jpg Sus à l'Anglois, foutre Dieu !

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Message07 Déc 2013, 20:06

Ne pas oublier l’usage du couvre-feu, sorte de cloche en céramique munie d’un ou de plusieurs évents que l’on pose sur les foyers, il permet de conserver les braises tout en évitant les risques d’incendie, existe au moins depuis le 13ès
http://www.villeneuvedascq.fr/motte_feo ... reucq.html
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Message07 Déc 2013, 20:30

David Lyle, chercheur américain, a réalisé une synthèse magistrale sur les poêles en maçonnerie dans un ouvrage
paru dans les années '90 et intitulé : "THE BOOK OF MASONRY STOVES - REDISCOVERING AN OLD WAY OF WARMING"
Les quelques pages qui suivent en sont largement inspirées
http://www.hypocauste.be/wa_files/historiquePDF.pdf


http://www.ultimheat.com/museum2(FR).html
Liste chronologique pouvant servir à l’histoire du chauffage (Cheminées, poêles, fourneaux etc...)

Allumer le feu - Cheminée et poêle dans la maison noble et au château du XIIe au XVIe siècle Elisabeth Sirot
http://www.decitre.fr/livres/allumer-le ... 09071.html
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Message09 Déc 2013, 17:43

Bonsoir à tous, comme promis, je fais le bilan du chauffage de ce WE. Si vous êtes en plein mistral, pas cool, mais cela à fonctionner un peu, j'ai juste une tente Normande de 4x2, mais il faut quand même que j'agrandisse les récipients, mais je ne pense plus participer à une méd l'hiver dans le sud, mistral gagnant, et pour tous vos messages que j'ai lu à la suite de mon post, merci à vous et très intéressant, au plaisir de vous revoir :content-29:
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yrwanel
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Message09 Déc 2013, 18:20

Viens faire du méd' en Belgique et on re-discute....

(en plus, ici, c'est humiiiiide!) :cry:

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