la fauconnerie

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Message02 Mars 2015, 22:22

La fauconnerie au moyen âge. Connaissance, affaitage et médecine des oiseaux de chasse d'après les traités latins. Paris, Klincksieck, 1994. de Baudouin Van den Abeele. —

critique et résumé de Aurell Martin Cahiers de civilisation médiévale Année 1996 Volume 39 Numéro 39-155 pp. 295-297

http://www.persee.fr/web/revues/home/pr ... 295_0000_4


La Fauconnerie au Moyen Age: chartes du XIVe et du XVe siècle; L'Art de la fauconnerie d'après un manuscrit du XIVe siècle.

de Charavay, Étienne
Extrait de: Revue des documents historiques PP 60 à 90. 1873

http://www.e-corpus.org/notices/100718/gallery/
http://www.e-corpus.org/eng/notices/100 ... um....html
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Message02 Mars 2015, 22:52

de FRIEDRICH II VON HOHENSTAUFEN
Né le 26 décembre 1194 — Mort le 13 décembre 1250
Roi de Sicile et empereur

DE ARTE VENANDI CUM AVIBUS
écrit entre 1244 et 1250

Traité de fauconnerie divisé en six livres: 1. moeurs des oiseaux; 2. capture et dressage des oiseaux de proie; 3. différents types d'appâts et leur utilisation; 4. chasse à la grue à l'aide de faucons gerfauts; 5. chasse aux hérons à l'aide de "faucons sacrés" (gerfauts?); 6. chasse aux oiseaux aquatiques à l'aide de petites espèces de faucons

http://www.arlima.net/eh/friedrich_2_vo ... aufen.html

traduction française postérieure, faite à la demande de Jean, sieur de Dampierre et de Saint-Dizier, et de sa fille Isabelle
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9 ... .image.swf

en français moderne:
Frédéric II de Hohenstaufen, L'art de chasser avec les oiseaux. Traduction intégrale en français du traité de fauconnerie "De arte venandi cum avibus", trad. fr. Anne Paulus et Baudouin Van den Abeele, Nogent-le-Roi, Jacques Laget et Librairie des arts et métiers (Bibliotheca cynegetica, 1), 2000, 562 p.
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Message03 Mars 2015, 08:05

La Fauconnerie de Jean de Franchières ,... avec tous les autres autheurs qui se sont peu trouver traictans de ce subject. [La Fauconnerie de Guillaume Tardif. La Fauconnerie de messire Arthelouche de Alagona. Recueil de tous les oiseaux de proye qui servent à la vollerie et fauconnerie, par G. B. (Bouchet).] De nouveau reveue, corrigée et augmentée outre les précédentes impressions

Éditeur : F. Le Mangnier (Paris)
Date d'édition : 1585
Contributeur : Franchières, Jean de
Contributeur : Tardif, Guillaume (1440-1492)
Contributeur : Bouchet, Guillaume (1513?-1594)
Type : monographie imprimée
Langue : Français
Format : In-4°, III-127 ff. et la table, fig.

Sieur de Brocourt (commune de Nieul-l'Espoir). - Poète et écrivain. - Juge-consul des marchands de Poitiers. - Imprimeur-libraire ; publie en association avec son frère Jacques II Bouchet sous la raison "Frères Bouchet". - Né en 1513 ou 1514 (dit âgé de 80 ans en 1594). - Fils de l'imprimeur-libraire de Poitiers Jacques I Bouchet (m. en 1550) ; petit-fils de l'imprimeur-libraire Guillaume I Bouchet. - Décédé peu après avril 1594

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k850611d


et aussi quoique plus récent :

Le véritable fauconnier, par M. C. de Morais, chevalier, seigneur de Fortille,.. 1683

https://books.google.fr/books?id=spZbgp ... er&f=false

trouvable dans de nombreuses bibliothèques
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Message03 Mars 2015, 13:51

Libro de la caza de las aves (Livre de la chasse aux oiseaux)
de López de Ayala, Pedro 1332-1407 (auteur d’un traité espagnol de fauconnerie écrit entre 1385 et 1389)

existe en :
-format papier : réédité en 1969 aux Ed. Castalia, Madrid,
Contributeur : Fradejas Lebrero, José (Éditeur scientifique)
-livre virtuel de la bibliothèque virtuelle Miguel De Cervantes

López de Ayala, capturé par les Portugais durant la Bataille d'Aljubarrota (1385) fut emprisonné au Portugal de 1385 à 1388 ou 1389, pezndant ce temps, il a écrit son Libro de la caza de las aves (" Le livre sur la chasse avec les oiseaux de proie ") et les parties de son Rimado de Palacio. Il fut rançonné pour 30,000 doublons après que beaucoup avaient intercédé à son nom, en incluant sa femme, doña Leonor de Guzmán, le Maître de Calatrava et les rois tant de Castile que de la France.

Dans son Libro de la caza de las aves, López d'Ayala a essayé de compiler toute la connaissance correcte et disponibles concernant la fauconnerie. Dans le prologue, López d'Ayala explique que concernant " cet art et science de la chasse avec les oiseaux j'ai entendu et ai vu beaucoup d'incertitudes ; tel que sur le plumage et les caractéristiques et la nature des oiseaux ; tel que dans le fait de les domestiquer et le fait de leur ordonner de rechercher leur proie ; et aussi comment les guérir quand ils souffrent et se sont faits mal. De cela j'ai vu quelques écritures qui y ont raisonné, mais nait pas approuvé d'autres. "

NB : Libro Rimado de Palacio : livre satirique et didactique (" le Vers de Palais " ou " Les rimes de la COUR "), dans lequel il décrit acidement ses contemporains et leurs valeurs sociales, religieuses et politiques

le livre ci dessous dans la bibliothèque virtuelle Miguel De Cervantes

http://www.cervantesvirtual.com/servlet ... /index.htm
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Message05 Mars 2015, 10:42

Historique général de la fauconnerie :

Les origines de la fauconnerie sont inconnues mais tout le monde s'accorde sur le fait que de la fauconneriecelle-ci est probablement l'un des plus anciens modes de chasse encore pratiqués de nos jours.
Nous sommes donc réduits aux hypothèses pour répondre à ces deux questions : sachant que les rapaces n'ont jamais été domestiqués, OÚ et COMMENT un homme a-t-il eu pour la première fois l'idée de s'associer à un rapace pour se nourrir d'un gibier sauvage ? L'homme qui ne se contentait plus de la cueillette devint très vite chasseur et il abandonnait aux rapaces les proies blessées qui lui avaient échappé : l'oiseau s'habituait à suivre le chasseur pour tirer avantage de ses efforts.
Réciproquement l'homme poursuivait parfois le faucon qui charriait péniblement une proie trop grosse : l'idée naquit alors chez le chasseur de normaliser à son profit une association de fait. Il piégea alors un faucon, attendit qu'il ait faim, le nourrit, attendit qu'il ait faim à nouveau et le lâcha sur la proie. La fauconnerie était née.
En ce qui concerne l’Europe et l’Asie, beaucoup d’auteurs pensent que c’est en Asie centrale qu’il faut chercher, dans ces contrées désertiques où les oiseaux de proie pullulent.
Les Kirghizes des hauts plateaux, nomades et chasseurs, ont eu de tout temps sous les yeux une concentration exceptionnelle et naturelle de rapaces utilisables (gerfauts, sacres, laniers, pèlerins et aigles). Si l'on ajoute que c'est dans cette région que les paléontologues situent la première domestication du cheval, il y a fort à parier que le berceau de la fauconnerie est là, entre l'Altaï, la mer d'Aral, les fleuves Oural et Yyrtich. Ce sont les grandes invasions qui ont véhiculé la fauconnerie, d'une part vers l'est en direction de la Chine et du Japon, d'autre part vers l'ouest en direction de l'Europe de l'Est, et les pays arabes et persans, enfin vers l’ouest dans tout le Mahgreb, l’Espagne et la France.
Dès le XIII°siècle avant J.C. les HITTITES pratiquent la chasse au vol. Les Assyriens nous ont également laissé des signes magnifiques de cette pratique par les peuples mésopotamiens
Au début de l'ère chrétienne, la fauconnerie parvient en Europe, par le Nord et par le Sud.
C'est au III° ou IV° siècle après J.C. que l'on y retrouve des signes irréfutables, telle cette boucle de ceinturon gallo-romaine trouvée dans l'Aveyron, représentant un fauconnier à cheval tenant un oiseau de vol sur le poing. Mérovée, chef franc monté sur le trône en 448 aurait dit "faisons venir nos chevaux, nos chiens et nos oiseaux et allons chasser dans la campagne". La fauconnerie est alors partout un privilège royal et seigneurial. Au Nord de l'Europe, le roi Gondrechaud édicte en 501 la loi dite "Gambette" : elle prévoit notamment que celui qui s'aviserait de dérober un autour aurait le choix entre deux punitions : soit se laisser prendre six onces de chair sur la poitrine pour nourrir l'oiseau, soit payer au seigneur propriétaire six écus et deux sols d'amende. Pépin le Bref en 760 décide d'encadrer la fauconnerie et nomme le Duc GILBERT Fauconnier-Mestre.
Les saints patrons de la fauconnerie datent de ces époques. Leurs légitimités ne sont pas incontestables, mais on notera Saint BAVON en France, Saint JULIEN en Espagne, Saint TRYPHON en Russie. Le grand Charlemagne entreprend de réglementer la chasse au vol…. qu'il interdit purement et simplement aux clercs et aux serfs. En ce qui concerne les clercs, différents conciles avaient déjà au VI° siècle déconseillé la fauconnerie aux prêtres et évêques!
Les conciles du XII° siècle rappelleront cette interdiction… qui aura un effet tout relatif. Cela n'empêchera pas en effet Denis Evêque de Senlis de publier un traité de fauconnerie, le Pape Léon X de passer plus de temps à la chasse au vol qu'à s'occuper des affaires de l'église.
Encore en 1640, le Curé d'Essy officiait à la cathédrale d'Evreux "chaussé, botté et éperonné, son faucon posé sur le maître -autel".
En 818, une loi ordonne de laisser au chevalier défait en champ clos "son épée pour se défendre et son faucon, tant pour chasser que comme emblème de sa noblesse".
Au XI° siècle, la tapisserie de Bayeux que tisse patiemment Mathilde de Flandres regorge de représentations de fauconnerie. Guillaume le Conquérant, faucon au poing, reçoit Harold . Sur les bateaux, des chevaliers avec des faucons : on juge là de l'importance extrême de la fauconnerie à cette époque.
Au temps des croisades, les princes européens découvrent une civilisation inconnue, et avec elle, une pratique ancestrale de la fauconnerie : ils en rapporteront notamment le chaperon, "bonnet" de cuir destiné à couvrir la tête de l'oiseau pour qu'il reste calme.
Louis IX, le saint Roi de France fit, en 1248, exécuter son portrait faucon au poing. Sous le règne de Charles V commence la rédaction du célèbre Livre du Roy Modus et de la Reine Ratio qui inclut de nombreuses pages sur la fauconnerie.
Charles VI décrète que désormais seuls les nobles auraient droit de pratiquer la fauconnerie : ce qui laisse à penser qu'il y avait eu un certain relâchement de la réglementation. Il crée en 1406 la charge de Grand Fauconnier de France, l'une des trois charges les plus prestigieuses de la cour : tous les rois jusqu'à la révolution eurent leur grand fauconnier, lequel, même en campagne, ne quittait pas la proximité immédiate des tentes royales. Plus encore, en temps de guerre, certaines conventions entre souverains prévoyaient de se transmettre l'état des fauconniers de chaque camp, pour qu'ils puissent voler leurs oiseaux au-delà des lignes ennemies, au moyen d'un laisser-passer "à une lieue des grandes gardes de l'armée".
Philippe le Bon, passionné lui aussi, avait un Maître fauconnier qui régnait sur vingt-quatre fauconniers, douze aide-fauconniers, vingt-quatre valets de fauconnerie, douze aide-valets et six tendeurs d'oiseaux… soit soixante dix-huit personnes pour s'occuper, sans doute, de plusieurs centaines d’oiseaux de vol.
Louis XI fut un fauconnier enthousiaste. Marie de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire, épousa Maximilien d'Autriche, très grand fauconnier : Marie se passionna pour cette chasse. Elle mourut d'une chute de cheval au cours d'une chasse au vol.
François Ier entretenait équipage de vol avec cinquante gentilshommes, cinquante fauconniers et trois cents oiseaux de chasse.
Sully disait à propos d'Henri IV : "Sa majesté se levait de grand matin pour voler des perdreaux, qu'il ne trouvait jamais si bons que quand ils étaient pris à l'oiseau."
C'est sous Louis XIII que la fauconnerie connut son apogée en France : sous l'autorité du Grand Fauconnier de France étaient tenus six équipages de vol, chacun étant spécialisé sur une proie (milan, lièvre, perdrix, corneille…). Le futur Roi, âgé de six ou sept ans, chassait les moineaux dans le parc des Tuileries avec une pie-grièche qu'avait dressée pour lui Charles de Luynes : devenu Roi, Louis XIII le fit connétable et Duc de Luynes. Toute sa vie il demeura un passionné et entretint nombre d'oiseaux, en particulier des petits faucons émerillons qu'il emmenait partout avec lui.
Fuyant la cour qu'il n'aimait pas, il retrouvait sur le terrain des chasseurs passionnés : l'un d'entre eux au moins est resté célèbre : il s'agit de Charles d'Arcussia de Caprée, vicomte d'Esparron de Pallières, auteur d'un traité de Fauconnerie qui fait aujourd'hui encore référence.
Louis XIV fut plus veneur que fauconnier. Il continua d'entretenir la fauconnerie à grand train, mais en réduisant progressivement le nombre de fauconniers et d'oiseaux. Louis XV, son arrière petit-fils, fut également plus veneur que fauconnier. Il maintiendra la fauconnerie royale, mais supprimera petit à petit beaucoup de charges dans le personnel de la Grande Fauconnerie de France : ce sera le début du déclin. Louis XVI se passionnera pour les escopettes et autres mousquets et pour la chasse à tir. L'avènement des armes de chasse est certainement l'une des raisons du déclin de la fauconnerie. De plus, les occupations à la cour de Versailles s'orientent beaucoup plus vers les fêtes galantes, le théâtre et la musique que vers la poursuite du gibier par monts et par vaux.
Le 4 mai 1789, Monsieur de Vaudreuil, dernier grand fauconnier de France, défile en grand arroi, et pour la dernière fois, à Versailles. Un décret de la Convention en 1792 supprime toutes les charges royales de fauconnerie, puis interdit purement et simplement la chasse au vol.
Mais dans des provinces, loin de Paris, des passionnés, notamment en Flandres, évitent à la fauconnerie de tomber dans l'oubli. C’est de Flandres, et particulièrement d’un petit village nommé Arendonk, que du X° au XVIII° siècle viendront les oiseaux destinés aux cours européennes.
Ni Louis XVIII ni Charles X ne s'intéressèrent à la fauconnerie, alors qu'en Belgique apparaissait le CLUB DE LOO, sous la protection de Guillaume III, roi des Pays-Bas. Ce club perdura jusqu'en 1853.
La France redécouvre la fauconnerie lors de la conquête de l'Algérie, où, par exemple, le Dey d'Alger a son fauconnier en chef. Monsieur Amédée PICHOT, avec l'appui de Napoléon III et l'aide du fauconnier anglais John
Barr, fonde le Club de Fauconnerie de Champagne. Entre les deux guerres se recréent en France une douzaine d'équipages de haut et bas vol.

in : http://www.culture.gouv.fr/mpe/ethno_sp ... nnerie.pdf

avec une biblio incluant des ouvrages sur la fauconnerie au moyen-âge


sur le sujet cf aussi pour de l'icinographie le topic sur la chasse au moyen age : viewtopic.php?f=15&t=8359
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Message27 Fév 2016, 20:07

Medieval Falconry - Archaeology and Reconstruction

de P. BLAŽEVIČIUS, J. KALĖJIENĖ

le complexe du château de Vilnius (Lituanie) a livré trois capuchons en cuir d'oiseaux de chasse et un squelette avec un ensemble de courroies de jambes, datés 14è s - début 15è s :content-29:

https://www.academia.edu/8045447/Mediev ... JIEN%C4%96
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Message27 Fév 2016, 20:49

The latest research on hunting, game and domestic birds in the Vilnius Lower castle in the 14 th – 15 th centurys.

de Blaževičius, P., Rumbutis, S., Zarankaitė, T.
in Chroniconum Palatii Magnorum Ducum Lithuaniae, Vilnius: Nacionalinis muziejus Lietuvos Didžiosios Kunigaikštystės valdovų rūmai, 2012. II t. (2011 m.), p. 299-319.

https://www.academia.edu/6758985/The_la ... it%C4%97_T
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