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Ca se porte par-dessus les chausses pour les protéger des déchirures lors des chevauchées dans les taillis.
D'ailleurs ça existe toujours pour les cavaliers.
Bouchard a dit :
Ca se porte par-dessus les chausses pour les protéger des déchirures lors des chevauchées dans les taillis.
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Raimond Roger Trencavel a dit :
«Aimeric se distinguait par sa monture - à qui Trencavel avait donné le nom de l’évêque de Carcassonne, Othon – et par son élégance. Il avait chaussé des houseaux de cuir rouge, moins épais et plus souples que ceux de ses compagnons, et qui remontaient jusqu’en haut des cuisses, et maintenus ajustés par un laçage serré pour empêcher tout risque d’accrochage ou de déchirure dans les halliers*. Il portait sur sa tunique une cotte bleue de gros drap cordelat, fendue en quatre, serrée à la taille par un ceinturon de cuir rouge.» etc etc etc.....
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Frêre Christophe a dit :
HEUUUU.... Excusez moi mais d'ou sort cette définition SVP ?Citation :
Houseau-eaux, au sens de jambière, de (haute) surguêtre par exemple en toile ou en cuir, protégeant la jambe, provient de l'ancien français huese, terme hérité directement du francique hosa qui désigne la botte. Attesté en 1170, son diminutif housel a donné houseau en français moderne. À la même époque, le mot huese a engendré des formes dialectales house, heuse ou heusse, et c'est le nom féminin heuse qui a fini par désigner communèment la botte après le XIIIe siècle. Une heuse à l'âge classique, par analogie de forme, est un piston d'une pompe dont le corps est en bois.
Parce que perso, j'ai toujours cru que :
- Les Heuses sont des bottes et non des sur-guêtres,
- C'est un accessoire typiquement Starwars, pardon XV°![]()
- Les accessoires ressemblant le plus à des "chausses" en cuir étaient des accessoires de Cavalier (trés pratiques certes), Country (Trés jolis, certes), Fétish (Trés gais....oooouups je dérape)
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Pour répondre à frère Christophe. Il suffit de chercher un peu.
À cette époque, Dark Vador n'existait pas encore.![]()
En ce qui concerne le XVème, les heuses n'étaient plus des houseaux. Aux XXème et XXIème siècles, on appelle ça des cuissardes, qui sont de nos jours très souvent portées par des femmes. Car le pied et la jambe ne faisait qu'une seule pièce.
Ici nous parlons de houseaux et non de heuses.
Voilà ce que dit le plus petit des dictionnaires sur les houseaux :
houseau,eaux
(nom masculin)
Guêtre montante.
Ce qui signifie que le houseau partait de la cheville pour monter tel une chausse et se fixait pareillement à cette dernière aux braies. Il était, suivant la descrïption de Domna Comtessa Adélaïse de Toulouse, "ajusté (et non fixé) à la jambe par un laçage serré".
Pour ce qui est du Western, ou du country, cela s'appelle des "Chaps" (voir début XVIIIème) descendants en droite ligne des houseaux d'europe.
La différence ?? Les "chaps" sont fixés entre eux par un ceinturon. Ce qui en fait une paire de houseaux en une seule pièce. (Merci pour lui !)![]()
Reste ta dernière remarque..
Fétish (Trés gais....oooouups je dérape)
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Il semble que cela pourrait s'apparenter à de la discrimination, envers une certaine communauté qui n'a rien à voir avec ce sujet.
Ce qui sur ce forum, il me semble, n'ait pas toléré.![]()
Sur ce, je resterai sur ma position.
Cordialement,
Le Seigneur Vicomte Raimond-Roger TRENCAVEL - Vicomte d’Albi, d’Ambialet et de Béziers (fiefs du Comte de Toulouse), Vicomte de Carcassonne et de Razès (fiefs du Comte de Barcelone et Roi d’Aragon).
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Selon les vertus de la chevalerie
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--Message edité par Raimond Roger TRENCAVEL le 2010-03-03 20:45:26--
Raimond Roger Trencavel a dit :En ce qui concerne le XVème, les heuses n'étaient plus des houseaux.
Le Seigneur Vicomte Raimond-Roger TRENCAVEL - Vicomte d’Albi, d’Ambialet et de Béziers (fiefs du Comte de Toulouse), Vicomte de Carcassonne et de Razès (fiefs du Comte de Barcelone et Roi d’Aragon)
Giovanni del Rossiglione a dit :
Tout à fait d'accord, mais à moins d'avoir loupé un épisode la question ne précisait pas la période, donc les heuses et les houseaux ont bien la même fonction de protection, plus courtes pour les piétons plus longues pour les cavaliers, encore que là ce n'est pas une constante, il suffit de regarder dans le livre de chasse de Gaston Phébus (XIVe) pour s'en rendre compte. Mais comme tout objet dans son histoire (sauf rares exceptions) elles ont évolués et se sont transformées au fil des modes et des besoin.
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Le Seigneur Vicomte Raimond-Roger TRENCAVEL - Vicomte d’Albi, d’Ambialet et de Béziers (fiefs du Comte de Toulouse), Vicomte de Carcassonne et de Razès (fiefs du Comte de Barcelone et Roi d’Aragon).
Tu es sûr que cela soit vraiment nécéssaire ?![]()
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Raimond Roger Trencavel a dit :Il m’a fallu relire l’histoire de ma mère (Adélaïs Comtesse de Toulouse, Fille du Seigneur Comte de Toulouse Raimon V le Magnifique)
Voici le passage dans lequel ma future mère décrit la tenue que portait son amant, le Chevalier troubadour Aimeric de Castelnau au cours d’une chasse avec le Seigneur Vicomte Trencavel et ses vassaux.
Plus sérieusement, d'après le descrïptif du texte présenté par Raymond, il semblerait que ce soit un accessoire porté pour la chasse. Nous n'avons aucunes autres informations indiquant si c'était porté à d'autres occasions.
Humbert de la Tour du Pin a dit :Petite question :
Pour les chausses, existent ils des sources les décrivant faites en cuir ?
«Aimeric se distinguait par sa monture - à qui Trencavel avait donné le nom de l’évêque de Carcassonne, Othon – et par son élégance. Il avait chaussé des houseaux de cuir rouge, moins épais et plus souples que ceux de ses compagnons, et qui remontaient jusqu’en haut des cuisses, et maintenus ajustés par un laçage serré pour empêcher tout risque d’accrochage ou de déchirure dans les halliers. Il portait sur sa tunique une cotte bleue de gros drap cordelat, fendue en quatre, serrée à la taille par un ceinturon de cuir rouge.» etc etc etc.....
Raimond Roger Trencavel a dit :.
Poésies du XII et XIIIème (page 368), orthographié housiaus (6)
voir définition du mots.