16 Juil 2011, 22:43
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"Le Calixtino Codex ou Codex Calixtinus, une valeur inestimable ouvrage du XIIe siècle, a disparu de la cathédrale de Santiago de Compostela, dans ce qui pourrait être l'un des plus grands vols et le patrimoine artistique de l'Espagne. L'absence du codex, qui a été conservé dans un fichier sûr, a été découvert mardi après-midi, mais le vol a eu lieu la semaine dernière, a indiqué la police. La pièce n'était pas assuré, comme l'a confirmé à la presse le doyen, M. José Maria Diaz, qui reconnaît ne sais pas si le contrat d'assurance générale pour la cathédrale de l'ouvrage couvre le vol.
Le Codex a été Calixtino conservés dans une chambre, qui est "un accès continu" avec d'autres volumes, «le plus précieux», habituellement de deux chercheurs qui consultent les archives de la cathédrale. Seuls ces deux et le doyen, M. José María Díaz, peuvent entrer librement dans la pièce et de voir le codex, un précieux ouvrage du XIIe siècle. Par conséquent, il n'est pas sécurisé. Diaz a confirmé ce matin à une comparution devant la presse que l'ensemble des parchemins sans auto-assurance et bien qu'il y est un problème général de la cathédrale, ne sais pas si ce serait couvrir le vol d'un précieux spécimen.
A l'occasion de l'exposition d'art religieux de l'âge de Man, en 1990, à Burgos, l'organisation a cherché à exposer l'échantillon à la Commission du Codex, mais un certain ad hoc a ensuite demandé 1.000 millions de pesetas. Le volume ", qui ne prend jamais la salle d'enquêter», que sont venus deux fois dans la cathédrale pour les deux expositions, la dernière en 1993 et resté seulement quelques jours sur l'écran, comme cela a été plus tard remplacé par un fac-similé.
Le doyen a refusé de clarifier tout point de la caméra de sécurité où vous enregistrez le document «la recommandation» de la police, même si ils ont confirmé que la porte a été forcée, comme le rapporte ce matin quand il est apparu que la chambre où il avait gardé les clés. Diaz a rapporté que mardi soir, l'un des chercheurs, «Je m'ennuie» du Codex lui-même et dit le doyen. "Nous avons cherché dans quatre employés pour s'assurer qu'il n'était pas sûr ni dans les salles adjacentes," at-il expliqué. Puis ils ont dit la police, qui sont allés à la cathédrale 22.00 h. Le rapport officiel est venu hier après-midi. «Le conseil se sent l'illégalité volé et énorme", at-il dit.
Le doyen ne voulait pas de verbaliser tout soupçon au sujet de la paternité de potentiel de vol. «Si je ne dis pas, si je soupçonne quelqu'un n'a pas dit. Tout d'abord, c'est un péché de faire jugements téméraires, et dans ce cas, si un procès dans imprudente que je peux demander à cet effet, mais jamais le montrer. C'est ce que a été, je savais ce qu'il était, sa valeur inestimable et comment l'atteindre. " «Le conseil a conservé pendant 800 ans, nous sommes victimes d'une attaque terrible", at-il conclu.
Les quelques personnes qui avaient accès à la chambre où le codex a été conservé et a été interrogé par la police, mais pour l'instant, les soupçons ont été trouvés contre l'un d'eux. Bien que l'accès à la caméra était assez limité, le contrôle des clés était "assez souple", il est donc possible qu'un intrus va les saisir et ouvert le plastron sans difficulté.
Le vol (ne peut pas parler de vol, il n'y avait eu aucune force ou la violence) a eu lieu la semaine dernière. Toutefois, il n'a pas été remarqué jusqu'à mardi. Déconcerté, la pensée qui considère la cathédrale archive premier guide et le plus célèbre pour les pèlerins a été perdu et cherché partout sans trouver la moindre trace. Compte tenu de cette preuve, a informé la police, qui a commencé le travail de recherche, mais a été publié hier, la plainte au poste de police à Santiago de Compostela.
"La meilleure chose qui puisse arriver est que le codex est tenu par quelqu'un qui connaît votre précieuse pour tant nous sommes certains que vous n'avez pas d'abus», a déclaré un commandant de police. Le siège de la police de la Galice a fourni "toutes les troupes nécessaires» pour récupérer le texte, alors qu'aujourd'hui joindre à l'enquête de deux spécialistes de la brigade du patrimoine historique centrale.
Les experts cités par El Correo Gallego crois qu'il peut être un vol en bande organisée qui pourrait agir pour le compte d'un collectionneur. Sources de recherches citées par la Cadena SER pense que la question est en dehors de l'Espagne. Le délégué du gouvernement en Galice, Miguel Cortizo, a expliqué aux journalistes que les protocoles sont permis aux Européens de contrôler les marchés dans lesquels ils peuvent négocier avec ce genre de travail.
Le premier guide de la Voie
Composé de cinq livres et deux annexes, mais liés dans un seul volume en 1964, le codex, qui a été créée pour répandre la dévotion à saint Jacques, était une sorte de guide pour les pèlerins qui se rendaient à la ville, conseils, hébergement possible, une descrïption de l'itinéraire des ouvrages d'art ainsi que les coutumes locales des personnes vivant le long du Camino. Il contient également des illustrations riches et les 22 pièces polyphoniques qui sont parmi les plus anciennes en Europe. Mesures 30 par 21 pouces et se compose de 225 folios de parchemin.
Ces dernières années, ont augmenté les mesures de sécurité pour protéger le manuscrit, conservé dans un endroit équipé d'un système d'alarme et d'incendie, mais cela ne veut pas enregistrer tous les mouvements dans les différentes salles. Par ailleurs, selon ce journal, il ya cinq caméras de sécurité, mais aucun d'entre eux étaient axés à l'ouvrage. En dehors de l'original manque, il est une réplique exacte, ils travaillent avec des spécialistes agréés, qui peuvent voir les visiteurs du Musée de la Cathédrale. L'original a été montré que dans les grandes occasions, plus récemment, comme La Voz de Galicia, environ deux mois à partir du personnel du ministère de la Culture.
Le doyen, M. José Maria Diaz, a déclaré hier le conseil de la cathédrale et de l'archevêque, Julián Barrio, les disparitions du codex, l'original latin, parrainé principalement par le pape Calixte II (d'où le nom), a été traduite galicienne l'année dernière."