Votre maison ?

[Magnus]

Et ne pas oublié la cheminé a l'intérieur de laquelle nous pourrions faire cramer un templier. Joli spectacle pendant les long soir d'hiver

[Loup de Puilaurens]

Ben, moi, c’est différent.
Je viens me faire chier sur des campements, à dormir dans des tentes où il faut froid la nuit et chaud le jour.
Je me tape toute la journée des mecs full-histo qui me gonflent.
Je subis des publics qui n’ont comme référence que « Les Visiteurs ».
Je bouffe léger, quand je bouffe.
Je dors quatre heures par nuit, soit que j’ai fait la fête, soit que d’autres la font autour de mon camp.
Une fois rentré, à trois heure du matin, je ne peux pas sécuriser ma remorque parce qu’un connard c’est garé devant mon garage.
P….n, un patron me demanderait çà, je le ferais pas.
Cà vous rappelle rien ?
Y a pas comme un air de vécu ?
On appelle cela un « médiéviste ».

[Giraud de Gent]

Loup , ça me rappel un souvenir tiens … de mon côté … on a fait faire un sous sol que pour le "bazar" médiéval et les plus belles pièces ( arc, épées, armure, trousse à chirurgie… seront exposées dans une pièce …

[Mossolencs]

Bien le bonjour, à tous,

Alors là, je suis surpris, notre bon Enguérand à de l"avance, je n'ai point encore de moulin pour l'électricité, mais je n'ai point sevit dans les jardins "public", alors que j'ai déjà mont "guet" un samedi sur deux, pour chasser le badeau des frontières de ma ferme , bientôt mon ainée dormiras dans l'écurie, j'attend le beau temps, car some toute il est encore "jeunet" pour supporter les vilains courant d'air !

Dans tous les cas, je suis en aise deretrouver mes freres medievieux.

MO (derne)

[Giovanni del Rossiglione]

Personnellement j'ai demandé à EDF de couper l'électricité et de m'installer un moulin à vent sur le toit côté énergie.Le puit est assez décoratif au milieu du salon mais j'avoue que comme ma télévision a été transfomée en poulailler, je ne parviens pas à m'habituer à l'odeur des volailles.
Par contre mes 150 chevaux sont un peu à l'étroit dans mon ex-garage transformé en écurie.
Ma compagne et moi montons la garde à tour de rôle dans la tour que j'ai bâti devant ma maison: cela est efficace car aucune attaque n'est à déplorer.
Les longues soirées d'hiver sont consacrées à la confection de côtes de mailles ou au filage de la laine. Laine produite, bien entendu, grâce à un élevage ovin dans le jardin.
Je ne désespère pas de passer à une production supérieure dès que j'aurai asservi quelques indigènes des alentours, mon fief étant pour le moment trop limité.
Il a déjà été difficile de faire accepter les bruits de la forge derrière la maison aux voisins du lotissement alors je limite mes véléités de conquêtes, ces bougres seraient capables de mal le prendre!!
Déjà que la dernière chasse au sanglier a créé un scandale, sous le prétexte falacieux que la bête a été achevée dans la rue. Pas ma faute si l'animal s'est traîné sanguinolent jusque là.
Mon mobilier a été entièrement refait en bois, lequel provient du jardin public. D'ailleurs public veut bien dire à tout le monde, non? ça n'a pas été simple de faire passer le concept aux gens d'arme qui se sont présenté à mon huis, mais maintenant qu'ils m'ont libéré je sais que je me dois de me méfier d'eux, mais dès que mon ost sera montée je m'en irai réclamer vengeance.

Que c'est bon de rire !

[L'Ecorcheur du Trièves]

Bon, puisqu'il faut tout avouer, je vous dresse le tableau :

Dans le salon, derrière la porte d'entrée théorique : la hampe du fanion de bataillon en deux parties et la malle contenant le matériel de camp de Fricoteur, fusilier-grenadier de la Garde. Sur la malle, l'épée viking achetée voici un quart de siècle (soudain, l'illumination : faudrait un fourreau, non ?). Sur la table du salon : le mousqueton de cavalerie et les cartouches que je viens de préparer (depuis, il pleut, donc pour le dépucelage du mousqueton cela attendra). Plus le nécessaire à feu que j'ai acheté d'épok et des saletés de silex anglais qui pètent et ne veulent pas faire d'étincelles. Sous une fenêtre, une chaussure GDFB qui attend que je trouve la boucle que j'ai perdue lors de sa première sortie.

Près de l'escalier, sur le radiateur, le colt 1860 et le remington 1858 pour le cowboy action shooting. Près de la porte de la cave, le 1777 an IX dans sa housse.

On monte à l'étage : dans la chambre d'amis, sur le lit, tout le médiéval en vrac sauf l'armement. En face, dans ce qui devrait être la salle de bains, le râtelier avec les protections et l'armement de l'Ecorcheur du Trièves... et puis des jougs à boeufs ( pourquoi ai-je commencé à collectionner des jougs, moi d'abord ?). Dans ma chambre, l'uniforme de Fricoteur dans la penderie. Dans le bureau, des tas de bouquins posés par terre par époque et une selle de hussard.

Dans le garage sur l'établi : mon casque à lunettes trop petit que j'ai commencé à démonter en vue d'élargissement et un canon de 1822T dont j'essaie de déboucher la cheminée qui a été "neutralisée" par un forgeron.

Voilà, vous avez une idée de l'ampleur du désastre.

[Ben]

A part mon armure qui est sur un manequin a ma taille tout est range dans mes coffres.
Le reste est stoke sous mon hangar car vu l'espace que cela prend.

[bzhastro]

En face, dans ce qui devrait être la salle de bains, le râtelier avec les protections et l'armement de l'Ecorcheur du Trièves...

euh t'as une salle de bain ou pas la ??? car si oui : comment tu fais pour la rouille à entreposer ce matos dans un endroiit aussi humide ???

[L'Ecorcheur du Trièves]

Il y a la salle, mais pas de bains, donc no problemo...