croix brocante
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test
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et une dernière pour la route ...
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Vous n’avez pas les permissions appropriées afin de consulter les fichiers insérés dans ce message. Sergent d'arme de la compagnie des griffons d'arverne et podestat du seigneur Audon / Ami de dieu, ennemi de tous
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Bonsoir à tous,
Ce qui est trop dommage c'est qu'on ne parvient pas à faire une photo qui montre bien le bas de la croix, où on distingue également une gravure qui est malheureusement plus abimée que le reste.....est-ce un personnage supplémentaire? Est-ce les racines d'un arbre.... impossible à déterminer pour le moment. De la même manière, une inscription est présente dans la branche droite de la croix, le long du bord externe, impossible aussi de distinguer l'alphabet utilisé! En ce qui concerne l'épaisseur de la pièce , sur un côté, elle mesure 1mm, et 2 mm de l'autre...donc, encore une preuve supplémentaire d'usure.... |
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Sur les conseils de Drapier, on met la pièce en stand-by.
Cacotte se charge de la protéger ; nous verrons ce qu'il en est de la croix lors de la fête de la rose d'or. Dans l'attente de l'avis de notre ami, je remercie tout le monde pour sa participation active. Vous m'avez tous bien aidé et je vous invite à venir voir la croix à la rose d'or, en espérant que nous puissions tirer l'affaire au clair  |
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Sergent d'arme de la compagnie des griffons d'arverne et podestat du seigneur Audon / Ami de dieu, ennemi de tous
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je lui ai expliqué comment conditionner l'objet pour éviter une éventuelle reprise d'oxydation, en attendant de pouvoir regarder l'objet en vrai, ce qui est le seul moyen d'en dire réellement qlq chose et de ne surtout pas essayer de le nettoyer plus, ce qui est toujours très nuisible pour les objets.
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l'histoire, c'est un compte de faits
"Si vous ne changez pas en vous-même, ne demandez pas que le monde change" La documentation ne vaut que si elle est partagée par le plus grand nombre. Kentoc'h mervel eget bezañ saotret |
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Merci, mais je n'arrive pas à le lire, j'obtiens la page entière, ce qui fait que le texte est trop petit pour pouvoir le lire. Si il y a une technique, je suis preneur. |
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Par Pari Refertur.
Mourir est vraiment un manque de savoir vivre. |
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Dans ton ordi, sur ton navigateur, tu as obligatoirement un panneau de contrôle ou tu peux agrandir à x% ce qui s'affiche, si-non tu cliques sur download pdf (en haut à droite) après avoir ouvert le lien, cela télécharge le fichier et après l'avoir ouvert, tu peux alors agrandir le pdf obtenu, généralement sous un format type Adobe Acrobat
Dans le pire des cas, je te prêterai mes lunettes, elles pourront te servir de paire de jumelles  A+ |
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l'histoire, c'est un compte de faits
"Si vous ne changez pas en vous-même, ne demandez pas que le monde change" La documentation ne vaut que si elle est partagée par le plus grand nombre. Kentoc'h mervel eget bezañ saotret |
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Je te prout espèce de même pas beau vilain ! |
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Par Pari Refertur.
Mourir est vraiment un manque de savoir vivre. |
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Je m'abstiendrais de répondre, mais je pense très fortement à un proverbe célèbre  blague à part, tu y est arrivé ? |
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l'histoire, c'est un compte de faits
"Si vous ne changez pas en vous-même, ne demandez pas que le monde change" La documentation ne vaut que si elle est partagée par le plus grand nombre. Kentoc'h mervel eget bezañ saotret |
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Pose l'écran sur une photocopieuse et fait un agrandissement !  |
 Sus à l'Anglois, foutre Dieu ! |
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Oui, merci ! Je me souviens d'avoir débattu sur l'inquisition sur ce même forum. Sujet intéressant. La Criante, au piquet !  |
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Par Pari Refertur.
Mourir est vraiment un manque de savoir vivre. |
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La très petite épaisseur de métal et d'autres détails font vraiment penser à la face antérieure d'une croix reliquaire... Désolé de revenir au sujet initial, hein... Hein les trolls de modos !!! Nan mais...  |
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"Heñvel war wir a sav ken aes, ha ma ra dienn war al laezh."
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Tu sais ce qu'ils te disent les troll ?
Le sujet est en stand-by |
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Par Pari Refertur.
Mourir est vraiment un manque de savoir vivre. |
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Vous verrez l'objet tout comme moi, si vous venez à la Rose d'Or
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l'histoire, c'est un compte de faits
"Si vous ne changez pas en vous-même, ne demandez pas que le monde change" La documentation ne vaut que si elle est partagée par le plus grand nombre. Kentoc'h mervel eget bezañ saotret |
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Nan... Que ça s'accorde pas au pluriel ?  Bon, ben si le sujet est au stand Baille jusqu'à la Rose, ça promet de chaudes nuits d'été...  PS - Etais juste revenu pour préciser qu'il manquerait alors sans doute le dispositif d'accrochage en bas de la croix, et que pour l'inscription, ben fallait peut-être aller voir chez les Grecs (je dis ça comme ça, hein, j'adapte vu la tournure des choses ) |
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"Heñvel war wir a sav ken aes, ha ma ra dienn war al laezh."
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Bonjour à tous,
Bien que je partage la vie de Guilhem, j'arrive un peu après la bataille pour participer à cet échange fort intéressant concernant notre acquisition.. Je vous en présente mes excuses. Ceci dit, nous continuons les recherches afin d'en apprendre un peu plus sur l'histoire et l'utilisation de cet objet. Je suis tombée sur une information, à mon goût intéressante, donc je me permets de vous la copier ici, si cela vous intéresse également de la lire. C'est le résumé du livre "Les croix-reliquaires pectorales byzantines en bronze", écrit par Brigitte Pitarakis, chargée de recherche au CNRS. Spécialisée dans l'Histoire de l'art byzantin, ses domaines de prédilection touchent les objets métalliques (Antiquité tardive et Byzance) et la vie quotidienne à Byzance entre culture matérielle et société. "La société byzantine était animée d’une profonde religiosité, dont témoignent ses productions artistiques. On ne retient habituellement de ce phénomène que la dévotion aux icônes. Mais la période qui succède à la crise iconoclaste du IXe siècle a également été marquée par un extraordinaire essor du culte des reliques. Témoignages éloquents de cette ambiance pieuse, les croix-reliquaires pectorales en bronze sont issues d’une production de masse qui a été distribuée dans toutes les parties de l’empire et dans ses régions limitrophes. Cet ouvrage réunit plus de six cent cinquante croix-reliquaires, souvent inédites, qui proviennent d’une vaste aire géographique allant de l’Italie du Sud, la Grèce et les Balkans, à l’Asie Mineure, la Syrie-Palestine et la Russie. Dotées d’un décor religieux, les croix-reliquaires en bronze étaient portées sur la poitrine pour assurer une protection dans la vie de tous les jours et dans l’au-delà. Leur contenu présumé, un fragment de la Vraie Croix, et leur décor le plus courant, une image du Christ en croix, ont longtemps incité les chercheurs à les ranger parmi les souvenirs de pèlerinage en Terre Sainte paléochrétienne. Néanmoins, l’analyse approfondie de leur iconographie, menée parallèlement à l’observation des contextes archéologiques de découverte, a conduit l’auteur à déplacer leur datation dans une fourchette chronologique située entre le IXe et le XIIe siècle et à rejeter leur association traditionnelle avec les sanctuaires de Terre Sainte. Il lui a également été possible d’observer une coïncidence de la popularité croissante de cette production avec l’apogée du monachisme et l’élargissement des frontières de l’empire. Fortement prisées par les moines et les soldats qui ont contribué à leur extraordinaire diffusion, les croix-reliquaires ont également été portées par des femmes et des enfants. Elles apportent un éclairage précieux sur les contacts entre art et société à Byzance." Source : Museum Tusculanum Press |
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Combattante sous les couleurs des Griffons d'Arverne.
"Dieu le veut, Je passe quand même" |
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