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Roh !!! il est dur (hors mis les propriétés du cuir bien sur !  )! tant pis! j'me frai un tonnelet....Ca me donne pas le diamètre de ta gourde cependant, je bois pas que de l'hypo...  Des fois j'utilise de l'eau ! Même si c'est pas goutu ! apres un combat et avant d'en reprendre un autre, il parait que c'est mieux que le vin.  |
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Oui, bien sûr, le diamètre fait 25cm hors tout.
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Merci !
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Superbe ouvrage... Je ne peux te retourner ton compliment et te féliciter.
Au passage, je regarde si je trouve une icono pour cette forme de gourdasse... |
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M. jiovanni, étant dans l'idée de refaire ce genre de gourde, XIIIème, je me devais de vérifier la source (ben oui, faut savoir d'où çà vient ce qu'on met dedans!).
J'en ai trouvé deux dont une que je peux montrer en lien (l'autre j'y arrive pas, moi et mon PC...). http://digi.ub.uni-heidelberg.de/diglit ... 1/314v.jpg Codex Manesse, et concernant les dimension du coup, 25 cm cela me parait jouable. J'aime bien le travail du cuir dans cette représentation. |
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Bravo !
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Magnifique Giovanni, c'est exactement le modèle qu'il nous faut. Pense tu venir à Pontoise cette année ?
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Merci à tous !
Et oui, je ferai un saut à Pontoise. |
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Samedi ou plutôt dimanche
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Histoire d'encore taper sur la gourdasse...
  Donc, repris du codex Manesse, le système de anses n'est pas comme le tiens Giovanni mais sinon cela reste similaire. Il me reste à la passer à la cire d'abeille et à l'huile de pied de bœuf. Reste à savoir concernant l'étanchéité. Je vais percer le bouchon bois pour passer un lien dedans, plus facile à déboucher et attacher à une anse tu le perds pas. |
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Bravo Messire beau modèle tu saurais en fabriquer une pour moi mais de couleur rouge, et oui selon mes armes...
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Arnaud de Barbazan
pour vous servir Il vaut mieux vivre pour manger que manger pour vivre... |
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Bon, je vais te donner tout ce que j'ai appris sur la fabrication. Je précise que ce n'est pas spécialement pour toi mais pour tous ceux que cela intéresse.
1) maintenant que tu l'as montée, tu l'as met dans de l'eau frémissante pendant vingt minutes. 2) puis tu lui donne la forme en la remplissant de sable préalablement nettoyé, n’hésite pas de tasser avec un bâton. 3) tu laisse sécher le tout 15 jours, ça évite de la sécher au four 4) tu vires le sable et tu passe un rince-bouteille. 5) tu laisse encore sécher en la mettant le goulot en bas pendant encore une semaine, et tu repasse le rince-bouteille. 6) tu fais chauffer 1/2kg de cire d'abeille et tu le verse à l'aide d'un entonnoir, tu insistes d'abord sur les coutures par un va-et-vient et tu vides le reste tant que c'est encore liquide. 7) tu recommence l'opération mais cette foi en insistant sur les faces. Et tu vide le surplus. Normalement la gourde est prête. Si tu as comme moi une âme damnée qui te bousille tout ce qu'il touche et que malgré tes recommandations il pose la gourde au lieu de la laisser suspendue, et que le poids de l'eau sur la partie posée, sur la couture par exemple et que cela occasionne des micros fissures de la cire et que la gourde se met à fuir, il ne te resteras plus qu'une solution pour la sauver. J'ai sauvé la mienne en utilisant un décapeur thermique à plusieurs vitesses. 1) j'ai d'abord laissé sécher la gourde plusieurs jours 2) j'ai chauffé avec le décapeur toute la bourde pour être sûr qu'elle soit bien sèche et que la cire soit plus souple. 3) puis j'ai fais pénétrer le l'air beaucoup plus chaud à l'intérieur de la gourde pour préparer la réparation. 4) j'ai fais la réparation en mettant une légère couche de cire liquide partout à l'intérieur. Testée pendant une semaine la gourde remplie d'eau, et pas une fuite. Et bien sûr il me reste un problème à résoudre, comment occire ce bachibouzouk de Christophe de façon la plus lente et la plus douloureuse possible. Autre chose, je ne sais pas si c'est vraiment important, mais n'as-tu pas peur que la cire dans le goulot que je trouve très étroit ne finisse par le boucher ou tout au moins rendre pénible le remplissage et la vidange ? |
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Merci Giovanni pour ces précision, je me demandai justement comment tu avait fais pour enlevé jusqu'au moindre grain de sable de l'interieur de la gourde.
Une petite question cependant, ou peut on trouver le cuir adéquate pour ce type de réalisation ? |
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Merci Giovanni (Maestro encore !) pour ces précisions... Pour ma part, j'en suis à la partie séchage. L'idée du goupillon me plait car j'avais noté que le sable pouvait facilement s'incruster dans les coutures après l'avoir bien tassé. Concernant la suite, je verrai des que j'ai reçu ma cire d'abeille, de toute façon avant la fin du séchage j'espère (encore une semaine).
J'ai retiré le sable après deux jours car cela conserve l'humidité à l’intérieur, la forme a bien pris de toute façon. En effet le goulot à l'air étroit mais je passe assez facilement mon entonnoir qui est pourtant assez conséquent, après il faudra que je vois à l'usage. Pour te répondre Messire Barbazan le saignant, oui je peux et je propose, en espérant que Tripat me fasse un retour sur la manière : Une fois la gourde étanche, passage extérieur de teinture rouge, puis une fois sec et avec un bon rendu, je passe une colle de peau de lapin sur la gourde. Je crois que cela renforcerai un peu l'étanchéité tout en protégeant ton cuir et sa teinture, come un vernis. Sinon, pour faire vraiment correct, on intégre un pigment à la colle. Question Saigneur Barbazan, vu que tu fais du XIVème, si tu regarde les réalisations dans le post "essais de reconstitutions", tu trouveras :http://www.grand-sud-medieval.fr/forum/viewtopic.php?f=31&t=4595 Laquelle t’irait le mieux? Pour le cuir, il s'agit de collet végétal, pou ma part du trois mm. Merci pour pour vos réactions. |
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