Je ne faisais pas référence qu'à l'inquisition, mais l'usage de la question un peu musclée, voir plus si affinité, n'était pas exceptionnel. On a quand même pas mal d'exemples, quand on lit les minutes du procé de Gille de Ray, il est bien spécifié qu'on lui épargne la question uniquement à cause de sa haute noblesse, mais ses deux valets Poitou et henriet par contre y ont droit.Grand Inqui a écrit:Ah pas d'accord, Giovanni; contrairement à l'idée répandue, la torture n'était appliquée qu'en dernier recours.Hormis quelques inquisiteurs complètement tarés.
Autre exemple, lors de l’arrestation des templiers, la question fut appliquée avec une telle violence que beaucoup sont mort pendant et d’autre encore sont mort des suites des blessures reçues pendant ces « questions ».
Quand à la santé mentale de quelques inquisiteurs..........joker !
