Reportage

On y parle, on y blague / Hablamos allí, bromeamos allí / Uno parla là, uno ne scherza
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Giovanni del Rossiglione
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Message08 Juin 2010, 22:45

Ricou de Linar a dit :Non ! Je le crois pas ! Messire Giovanni d'accord avec moi ! Vite un cierge !

http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif  

J'ai le grand bonheur de vous faire part du changement de pseudo de Ricou, maintenant il l'appellera Mélanie........
Et pour fêter ça je vous propose une petite chanson de mon maître en poésie, j'ai nommé G. Brassens.

Les chansons de salle de garde
Ont toujours été de mon goût,
Et je suis bien malheureux, car de
Nos jours on n'en crée plus beaucoup.
Pour ajouter au patrimoine
Folklorique des carabins, (bis)
J'en ai fait une, putain de moine,
Plaise à Dieu qu'elle plaise aux copains. (bis)

Ancienne enfant d'Marie-salope
Mélanie, la bonne au curé,
Dedans ses trompes de Fallope,
S'introduit des cierges sacrés.
Des cierges de cire d'abeille
Plus onéreux, mais bien meilleurs, (bis)
Dame! la qualité se paye
A Saint-Sulpice, comme ailleurs. (bis)


Quand son bon maître lui dit : " Est-ce
Trop vous demander Mélanie,
De n'user, par délicatesse,
Que de cierges non encor bénits ? "
Du tac au tac, elle réplique
Moi, je préfère qu'ils le soient, (bis)
Car je suis bonne catholique
Elle a raison, ça va de soi. (bis)

Elle vous emprunte un cierge à Pâques
Vous le rend à la Trinité.
Non, non, non, ne me dites pas que
C'est normal de tant le garder.
Aux obsèques d'un con célèbre,
Sur la bière, ayant aperçu, (bis)
Un merveilleux cierge funèbre,
Elle partit à cheval dessus. (bis)

Son mari, pris dans la tempête
La Paimpolaise était en train
De vouer, c'était pas si bête,
Un cierge au patron des marins.
Ce pieux flambeau qui vacille
Mélanie se l'est octroyé, (bis)
Alors le saint, cet imbécile,
Laissa le marin se noyer. (bis)

Les bons fidèles qui désirent
Garder pour eux, sur le chemin
Des processions, leur bout de cire
Doiv'nt le tenir à quatre mains,
Car quand elle s'en mêl', sainte vierge,
Elle cause un désastre, un malheur. (bis)
La Saint-Barthélemy des cierges,
C'est le jour de la Chandeleur. (bis)

Souvent quand elle les abandonne,
Les cierges sont périmés;
La saint' famill' nous le pardonne
Plus moyen de les rallumer.
Comme ell' remue, comme elle se cabre,
Comme elle fait des soubresauts, (bis)
En retournant au candélabre,
Ils sont souvent en p'tits morceaux. (bis)

Et comme elle n'est pas de glace,
Parfois quand elle les restitue
Et qu'on veut les remettre en place,
Ils sont complètement fondus.
Et comme en outre elle n'est pas franche,
Il arrive neuf fois sur dix (bis)
Qu'sur un chandelier à sept branches
Elle n'en rapporte que six. (bis)

Mélanie à l'heure dernière
A peu de chances d'être élue;
Aux culs bénits de cett' manière
Aucune espèce de salut.
Aussi, chrétiens, mes très chers frères,
C'est notre devoir, il est temps, (bis)
De nous employer à soustraire
Cette âme aux griffes de Satan. (bis)

Et je propose qu'on achète
Un cierge abondamment béni
Qu'on fera brûler en cachette
En cachette de Mélanie.
En cachette car cette salope
Serait fichue d'se l'enfoncer (bis)
Dedans ses trompes de Fallope,
Et tout s'rait à recommencer. (bis)


Quand je te disais que le jour où tu apprendras à l'ouvrir sans dire une connerie grosse comme toi, tu aurais droit au 20h.   http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif  
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Ricou de Linar
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Message09 Juin 2010, 05:07

Ouf ! Me voilà rassurer, j'avais cru un moment que j'étais devenu dans le même état que le croulant acariâtre. Mais non, tout va bien, il n'y a bien qu'un seul maître docteur es ronchon, l'unique et irremplaçable Giovanni del bilioso.

http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif

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Othon fils d Othon
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Message09 Juin 2010, 10:41

Bilioso....

Libido, tu veux dire... (version bide-au lit)
Qu'y a-t-il de mieux dans la vie ?

Écraser ses ennemis !

Les voir mourir devant soi !

et entendre les lamentations de leurs femmes !

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Attala
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Message09 Juin 2010, 11:10

 http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif  http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif  http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif
http://img228.imageshack.us/img228/8100/titre01.jpg

Nemo me impune lacessit!

Ricou de Linar
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Message09 Juin 2010, 13:54

Othon fils d Othon a dit :Bilioso....

Libido, tu veux dire... (version bide-au lit)


Tu vas sur gogol dans l'option langue, tu tapes bilioso et tu lances la traduction italien vers français et tu sauras ou se trouve le centre névralgique des humeurs de notre très cher et accariatre Giovanni national européen international mondial universel.

http://planete-smiley.com/smiley/3d/c203.gif

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Giovanni del Rossiglione
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Message09 Juin 2010, 17:09

@ Ricou :
Se vuoi parlare l'italiano questo non è un problema.
Non sono collerico o biliosi, mi esprimo, è tutto !
la candela che volevi accendere, ti ho dico solamente dove potevi mettertelo.
Ti ho informato, è tutto !   http://www.smileymania.fr/Smileys/Na/na91.gif

@ Attala et Othon, vous voulez un poème aussi ?   http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif
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Mélissandre
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Message09 Juin 2010, 17:27

Tu parles d'un poème !!!!
Image Ne rêvez pas votre vie mais vivez vos rêves !!

Ricou de Linar
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Message09 Juin 2010, 17:38

Messire Giovanni, j'avais bien compris. Etant plus que débutant dans l'italien je préfère en rester au français.
Et pour les poèmes à Othon et Attala, j'aimerais bien voir ça moi ! Et apparemment il semblerait que dame Mélissandre en veuille un aussi. Je crois que t'as de boulot là !

http://img1.xooimage.com/files/a/0/9/64536_1124930010-20f43.gif

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Charles Clément dit le Fourbe
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Message09 Juin 2010, 19:15

Hé Giovanni, Brassens a aussi écris celle ci !

Papa m’envoie quérir cent sous de mortadelle
Empochant la monnaie moi je file au bordel

« Ou vas-tu mon garçon de cette allur’ fougueuse ? »
Me lance Grand’maman. « Je vais courir la gueuse »

« Il est inconvenant de fréquenter les putes
Tu m’en donnes la moitié, juste et tu me culbutes ».

« Quoique j’atteigne hélas un âge canonique
A bien des jeun’s au pieu je fais encor’ la nique »

« D’abord ça te permet quelques économies
Et puis le patrimoin’ sort pas de la famille »

J’tends mes deux francs cinquante à cette bonne vieille
Ce fut un’ bonn’ affaire, elle baisait à merveille.

Le père à mon retour, me demande : «  Où est elle ? »
Le bâfreur attendait son bout de mortadelle.

En voyant la portion que je mis sur la table
L’auteur de mes jour poussa des cris épouvantables.

Il parlait de botter dans la régions fessière
Cell’ qui n’en pouvait mais, la genre saucissière.

Il ouvrit un museau de carpe suffocante
Quand il connut l’emploi de mes deux francs cinquante.

«  T’as baisé ma maman, petit énergumène. »
«  T’avais qu’à commencer par pas baiser la mienne. »

Mon argumentation vous lui coupa la chique .
Les français ne résistent pas à la logique.

Depuis, bibliquement jusqu’à ce qu’elle rende l’âme
Je connais ma grand’mère et baste à qui me blâme.

Quand la hausse des cours devient extravagante
Mémé bloque son prix : toujours deux francs cinquante.

Mais si mon père est pris d’un’ fringal’ de saucisse
Il va l’ach’ter lui même, excellent exercice !

Du coup, j’ai plus d’argent, de peur que je n’en vole
Grand’mère m’accorde alors ses faveurs bénévoles.

Pour qu’la morale soit sauve et qu’la chanson finisse
Je baise grand’mère à l’œil, le bon dieu la bénisse !

Enfin, c'est disons, une reprise de Brassens d'une chanson populaire déja existente .

--Message edité par charles clement dit le fourbe le 2010-06-09 20:15:45--
Le proverbe est la science des idiots.

Notre Dame, saluez le Régime !

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Giovanni del Rossiglione
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Message09 Juin 2010, 19:18

Mélissandre a dit :Tu parles d'un poème !!!!  

Et voilà cher Georges, les temps passent et on ne reconnait plus les douces bleuettes qui on bercées nos jeunnes années.
Pourtant je me laisserais bien tenter à leur présenter quelques fleurons tout ciselés de délicatesse comme tu sais les faire/

Je vous propose donc :

l'Andropause.  Pour expliquer à Othon qui l'âge n'y fait rien à l'affaire.

Misogynie à part. Pour Mélissandre qui a du mal avec la belle poésie.

Brave Margot. Pour Attala juste pour lui dire que j'en connais plus d'un qui rèverait de jouer le rôle du chaton.
 Par Pari Refertur.
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Giovanni del Rossiglione
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Message09 Juin 2010, 19:23

Charles Clément dit le Fourbe a dit :Hé Giovanni, Brassens a aussi écris celle ci !

Papa m’envoie quérir cent sous de mortadelle
Empochant la monnaie moi je file au bordel..........

Enfin, c'est disons, une reprise de Brassens d'une chanson populaire déja existente .  

Je connais la chanson, mais je ne savais pas que brassens l'avait reprise. Et quel titre lui a-t-il donné ?
 Par Pari Refertur.
Mourir est vraiment un manque de savoir vivre.

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Meriadec
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Message09 Juin 2010, 21:12

Giovanni parle à Georges...

... ?

On baisse le ton, on allume chacun un cierge, discretos, on le met pas dans Mélanie mais dans un réceptacle approprié à la beauté du geste, et on s'en va sur la pointe des pieds. Rhaaaa que c'est beau. Ils se comprennent outre-tombe, voilà la fonction des moustaches.

Shhhh... Là, tranquille... Calme... Oui, les messieurs en blanc sont gentils...
"Heñvel war wir a sav ken aes, ha ma ra dienn war al laezh."

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Message09 Juin 2010, 21:20

PS - Nos potes de chez Universal sont sans pitié (ou sans poésie), ils ont désactivé l'option Contacter. Béotiens...
http://www.universalmusic.fr/index.php?p=recherche&t=Artistes&q=Georges+Brassens&recherche=Rechercher
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Charles Clément dit le Fourbe
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Message09 Juin 2010, 23:37


Je connais la chanson, mais je ne savais pas que brassens l'avait reprise. Et quel titre lui a-t-il donné ?



Le petit fils d'Oedipe .



Georges, mon vieux Georges, sache que la jeunesse sera quand même la pour chanter "Le Gorille", et "Putain de toi !" et que les Trompettes de la Renommée sonne toujours aussi fort quand on cite ton nom et qu'on braille tes chansons !

Ah, et pour le tragulinu, j'en ai trouvé une (de brassens toujours) :

La Messe au pendu .

Anticlérical fanatique
Gros mangeur d'écclésiastiques,
Cet aveu me coûte beaucoup,
Mais ces hommes d'Eglise, hélas !
Ne sont pas tous des dégueulasses,
Témoin le curé de chez nous.

Quand la foule qui se déchaîne
Pendit un homme au bout d'un chêne
Sans forme aucune de remords,
Ce ratichon fit scandale
Et rugit à travers les stalles,
"Mort à toute peine de mort!"

Puis, on le vit, étrange rite,
Qui baptisait les marguerites
Avec l'eau de son bénitier
Et qui prodiguait les hosties,
Le pain bénit, l'Eucharistie,
Aux petits oiseaux du moutier.

Ensuite, il retroussa ses manches,
Prit son goupillon des dimanches
Et, plein d'une sainte colère,
Il partit comme à l'offensive
Dire une grand' messe exclusive
A celui qui dansait en l'air.

C'est à du gibier de potence
Qu'en cette triste circonstance
L'Hommage sacré fut rendu.
Ce jour là, le rôle du Christ(e),
Bonne aubaine pour le touriste,
Eté joué par un pendu.

Et maintenant quand on croasse,
Nous, les païens de sa paroisse,
C'est pas lui qu'on veut dépriser.
Quand on crie "A bas la calotte"
A s'en faire péter la glotte,
La sienne n'est jamais visée.

Anticléricaux fanatiques
Gros mangeur d'écclésiastiques,
Quand vous vous goinfrerez un plat
De cureton, je vous exhorte,
Camarades, à faire en sorte
Que ce ne soit pas celui-là.


Hé puisqu'on est dans la lancée, je dirais que pour toi Giovanni, "Trompe la Mort"  irai parfaitement ! .
Le proverbe est la science des idiots.

Notre Dame, saluez le Régime !

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Charles Clément dit le Fourbe
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Message09 Juin 2010, 23:45

PS - Nos potes de chez Universal sont sans pitié (ou sans poésie), ils ont désactivé l'option Contacter. Béotiens...



T'inquiète, pour trouver Georges, c'est rue françois Villon, là où tu aperçois le blanc des Neiges d'Antant tu devrais le trouver entrain de taper causette avec Margot, un Fossoyeur, un accordéoniste du nom de Léon, un Rat de Cave et un Cocu ...

on allume chacun un cierge



Déja essayé qu'on t'as dit : Mélanie se l'est octroyée ... t'imagine pas l'état du cierge, d'autant qu'elle est pas de glace la bougresse ...


Et une dernière petite pour la route Giovanni : Les Radis .

à lire ici : http://www.frmusique.ru/texts/b/brassens_georges/radis.htm

Et à écouter sur son Album : "Il n'y a d'honnete que le bonheur"


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Notre Dame, saluez le Régime !

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