Déclaration d'Amour

[Hersent]

hum hum... c'est un peu trop fort pitêtre ...

[Mélissandre]

Ces vers très chère Hersent
Non ne sont point trop fort
Ils sont tout aussi grands
Que vous les dites sans effort
Pour parler de celui qui
Fait vibrer vos envies

--Message edité par melissandre le 2010-01-07 21:34:07--

[Othon fils d Othon]

cela risque de facile vous paraitre,
Mais pour, du coeur exprimer le bien-être,

Point de mot vraiment ne peut convenir,
Aussi maintenant je ne sais que dire.

sinon que, de tout mon coeur j'espere
que cette belle dame ne se repère.

[Simon de Montfort]

Cher Othon et belles & nobles dames,

J'ai dit à l'entrainement ce soir que j'écrirai un acrostiche avec le nom de ma dame imaginaire : Héloïse, je vous soumets donc ces vers qui est mon premier assaut contre notre Othon-en-emporte-les-vers.

Héloïse, belle enfant, quand serai-je votre Abélard ?
Et, comme ce moine, je puisse vous parler sans fard
Longuement de vos yeux mutins, de votre sourire moqueur,
Ou de vos lèvres sucrées qui réveillent mon cœur.
Insoumis, il bat pour vous à jamais,
Sans savoir s’il est juste, de battre à vos souhaits
Et d’espérer sans fin, votre Cœur et vos reins.
Héloïse, belle enfant, quand serai-je votre Abélard ?

J'attends votre réponse noble Othon-sans-suite

[Othon fils d Othon]

Mon très cher ami,me voici et je vous proute !
Je ne suis point jouasse car je devait prendre la route

Helas le climat par ses facéties m'embête
car je dois bien l'avouer ce peu de neige m'arrête

J'espère bien que le climat vas se réchauffer.
Ainsi mon cœur égal'ment vas se réchauffer.



La première rime était pas géniale et la dernière assez facile, mais ce sera tout pour aujourd'hui, je suis au bureau je dosi bosser....

[Simon de Montfort]

Nobles & belles dames qui lisez ces assauts, je propse que vous soyez nos "Maréchaux de lice", c'est à vous qu'il convient de juger et trancher qui gagnera l'assaut.

Bon Othon-sans-suite, tes tirs de vers n'ont pas arrêté un assaut fulgurant qui n'est que le début. Voici le gros de l'offensive.

[Simon de Montfort]

Là, Othon, tu vas souffrir, car pour cet assaut, ami Othon, je sors la grosse artillerie : mangonneau, perrière, tonnelon et trébuchet. Je vais prendre d’assaut tes petits vers et les passer aux fils de mes rimes.

Comme l’enfançon s’émerveillant devant des colombages,
Ma mie, je suis esbaudie par tous vos avantages.
Mais, que saurai-je vanté parmi eux, sans partage,
La grâce de vos épaules, votre sourire moqueur !
La naissance de vos seins, le galbe de vos fesses !
Ne serait-ce par pudeur, ou bien par candeur
Que vous me provoquez, sans la moindre bassesse.

La flamme de vos yeux, le son de votre voix,
Votre taille souple, votre regard de braise
Qui me fige, me laissant un peu mal à l’aise.
Tout en vous est parfait et me laisse sans voix !
Si ma loi nous sépare, j’en suis fort confus,
Car mon cœur est conquit et mon âme perdue !
Que dois-je faire maintenant que j’ai votre étole,

Reverser mes règles et conquérir vos reins !
Saccager mon passé et caresser vos seins !
C’est ce que l’on fait pour plaire à son idole !
Baisser vos lèvres mutines, parfaire mon destin,
Sucer vos aréoles, le galbe de vos seins !
Mais est-ce bien de conquérir vos reins ?

Sans doute, ma raison reviendra demain,
Alors au point du jour, je serai plus serein.
Mais, est-ce bien raisonnable de lutter en vain ?
Sans savoir si mes vœux sont certains
De recevoir de vous, plus qu’une simple étole !
Direz-vous ma mie, alors que souffle Eole,
Si je peux continuer à vous charmer afin,
De vous chanter le désir, qui consume mes reins,
De vous conquérir et de vous prendre enfin
Sur le drap d’argent, pour caresser vos seins.

Dites moi vite, ma mie, que l’espoir demeure
Que vous serez mienne, en une autre demeure,
Un autre temps, un autre espace, sinon je meure
D’impatience, de savoir à quel point mon bonheur
Je dois attendre de vous, ma muse, mon doux cœur !
En attendant, dormez, je vous veux parfaite,
Car bientôt, je l’espère, nous nous ferons fête.

Seras-tu te défendre devant tant de beauté, de hardiesse et de rimes qui sont des traits pour toi, Othon-la-Loi.

Des traits mortels, s’entend, visant ton verbiage, qui sans mes contrecoups ne serait que mots vagues, sans substance, sans vie, enfin vas-tu te rendre !

Voilà tes remparts percés
Et tes douves comblées,
Tes piétons sont criblés
De mes traits acérés.
Rends toi ami Othon,
Ne fait pas le C*n.
Allons boire ensemble,
Une bière allemande.

[Simon de Montfort]

Booouuuuhhh, la technique me trahie

Le "Gras” n'a pas fonctionné sur toutes les premières lettres.

Je suis mat de rage et d'impuissance folle;
Me voilà, à merci d'un Othon-sans-Parole,
Les gobelins qui ne voulaient de moi
Sur ce site, se sont vengés, ma foi.

Je hais cette technique rebelle à mes vers,
Et je supplie ma belle de n’être en colère.
Je jure devant Dieu, de l’aimer à jamais
Si cette fois le gras enfin apparait.

[Othon fils d Othon]

Mon ami et sire, me voilà donc battu
Face a tant de verve, mon propre art a chût

Ton expérience a eu raison de ma fougue
telle la marine française à la Hougue

Devant tant de talent, je dois bien m'incliner
mais devant une'bière nous pourrons festoyer

[Simon de Montfort]

Pour fêter la victoire un verre à la main
Je te dis à bientôt, et si ce n'est demain

Nous trouverons un jour faste, pour boire
A notre soif, rire, chanter et savoir,

Que l'amitié restera au delà du combat,
Pour bien rire des vers de ce soulas.

Disons mercredi soir au Doll's !!  

[Mélissandre]

Eh ben c'est du propre
Tout ça pour boire un coup !!

[Othon fils d Othon]

Faut pas déco**er, non plus : Je vais pas faire de tels efforts pour rien ! point du tout, ma chère,, ces efforts étaient purement gratuit si ce n'est pour vous impressionner, et le buvage de coup est totalement annexe.

--Message edité par Othon fils d Othon le 2010-01-08 13:43:45--

[Christophe]

ouaisais tous a l'annexe Othon paye un coup a boire  

[Othon fils d Othon]

Rêve !

J'offre juste un coup à SdM !  

[Simon de Montfort]

Méli, si tu veux boire un coup avec nous tu es la bienvenue, je suis sur d'Othon-à-Boire, appréciera ta présence.

Et c'est moi qui invite !