sanguin, je et dirais que mes "domaines" montrent su le plan du seul vocabulaire, des subtilités que, actuellement, nous avons bien du mal à "comprendre".
PERSONNE à l'époque n'a laissé , pour chaque "mode", un ensemble de pièces d'habillement suivant statut et côté de la rue de chaque patelin (ville), avec une étiquette agrafée dessus.
Le mot pourpoint est plus antérieur (nettement) que celui de Charles de Blois. Désigne t-il la "même forme" (matière, usage, etc...) ?
Il y a des synonymes.. qui eux aussi portent, sans doute, leur particularité. (non décrite).
Niveau notarial: il y a (comme actuellement) des notaires précis et des "vagues". On ne reprend pas forcément l'inventaire des "brols" estimés "sans valeur" et qui nous serait précieux.. le cuir est rarement mentionné par ex, SAUF... si c'est une belle ceinture travaillée (donc qui a une valeur);
Il existe dans les comptes d'importation (l'importation peut être la ville d'à côté!), on trouve des nos "génériques", genre.. "drap de Flandres, d'Artois"...(euh oui.. mais de QUEL ville? dont à l'autre bout, un chercheur se demande OU les draps de cette ville étaient exportés, quelle clientèle, etc.).
Il y a aussi pas mal de trucs qui ne sont pas mentionnés...
retenons, tout de même, que au MA (et encore bien après...) le "péon de base" est vu par les lunettes de la classe dirigeante, le "travailleur" est mal perçu. En regard de ceux qui ont "les moyens", ces péons "n'ont rien"...sans doute on grossit le trait, pour mieux souligner la différence!
Une sucette que pour ceux qui roulent en jaguar et mazeratti, les autres véhicules ne méritent même pas de retenir la marque.. sauf, peut-être un vocable méprisant ("ces gens roulent en" Lada").
Par rapport à la "Jet Set", nous n'avons rien... effectivement, c'est une question très "relative"!
=> Entre le chevalier full caparaçonné genre écrevisse avec la dernière épée "profil rasoir" fait par LE forgeron machin et le péon de base qui n'a "que" des protections cuir et une faux: le péon n' a "rien"!
(bon, une faux c'est assez efficace quand même)
Quant aux chiffres de combattants décrits par les chroniqueurs.. mfff...
Des fois, cela me fait penser aux exagérations du style " 150 000 manifestants disent les syndicats, 15 000 d'après la police".
Bon, là, les chiffres varieront: cela le fait de n'être que 300 personnes et de dégommer victorieusement 30 000 adversaires.
Etre supérieur en nombre au départ et se faire virer par 3 pelés et 2 tondus, cela fait moins glorieux...
NB: cela semble exister depuis toute éternité, et est commun à l'humanité.
