Bonjour
Voila mon avis, j'etais tout en haut sur la tour du millieu aux Baux... LB1
1/ j'ai vu des flèches cassées en pointe avec des morcaux aussi pointus qu'une aiguille.
Si une flèche bluntée casse comme celles que j'ai vu, elle peut pénétrer a travers une protection, et blesser sérieusement.
C'est la raison qui me fait préfèrer les flêches en alu pour éviter ce risque.Il existe des alu imitation bois ,l'aspect "histo" étant ainsi sauf .
Si à l'achat ces flêches semblent plus onéreuses,on s'y retrouve trés vite car elles sont pour ainsi dire incassables, et on peut les détordre facilement pour un réemploi immédiat.
Ne doit on pas mesurer ( a l'aide de connaisseur ) la puissance des arcs avant une mélée ??
par exemple :
< à 35 livres ... ok pour tir tendu
> à 35 livres ... ok pour tir en cloche
Tres difficile de mesurer la
réalité de puissance d'un arc.
Si le facteur d'arc indique effectivement la puissance de l'arme sur la branche inférieure à une allonge constante de 28 pouces,l'archer qui aura une allonge supérieur à 28pouces vera la puissance augmenter d'une livre environ tout les deux pouces suplèmentaires et inversement(AMO)
Un arc de 35 livres actuel,est bien souvent plus performant qu'un arc de 45 livres d'il y a 25 ans! une flèche légère aura une plus grande vitesse qu'une lourde et se cassera plus aisèment
Pour les arcs asiatiques genre mongol,la puissance marquée de l'arc est établie à 30 pouces, ce qui diminue légèrement la puissance de l'arme par rapport aux arcs marqués par la réfèrence américaine AMO
Compliqué tout ça !!
On ne s'en sortira pas.Je crois qu'il faut mettre en avant,l'expèrience de l'archer,son bon sens,tirer sur les gens complètement protégés,et parfois volontairement rater sa cible en cas de doute .
Toutes les reconstitutions sont risquées.Ainsi il y a quelques années il y a eu une victime transpercées par une baguette de fusil chargé à blanc qui avait été oubliée dans la précipitation de rechargement au cours d'une bataille napoléonienne.Des blessés également lors de salve de canon.(brûlures )
Le risque zéro n'existe pas même pour les médièvistes !